L'économie est reine dans nos sociétés, le discours économique est omniprésent, les économistes occupent le devant de la scène publique. Ce devrait être un motif supplémentaire pour réfléchir sur des données et des idées qui ne sont guère questionnées par la science officielle. Il en va ainsi de la comptabilité des entreprises, sujet en apparence purement technique, trop ésotérique pour les profanes et trop subalterne pour les initiés, alors que ses règles engagent en réalité tout le fonctionnement du système capitaliste et qu'elle repose sur des présupposés hautement idéologiques.

Par l'un des acteurs majeurs du capital-risque, les clés de la réussite, en Chine, aux Etats-Unis et en Europe.

Contrairement à Chrysler et à General Motors, le constructeur n'a pas fait appel aux pouvoirs publics. Et il en fait un argument publicitaire

L'enseigne phare de la grande distribution américaine est mal en point. Concurrencée par des magasins discount, elle a aussi raté le train de la vente en ligne.

Le 8 février 2005, "Sciences et Avenir" s'associe au Sénat, à Paris, pour inviter ses lecteurs à la journée "Tremplin Recherche". Une occasion de créer des ponts indispensables entre entreprises, investisseurs et chercheurs.

A partir des actes de société et des bilans de la société Julien Le Blan, filature de coton et de lin à Lille, cet article analyse les stratégies financières d'une entreprise textile familiale de la région lilloise dans la deuxième moitié du XXe siècle, afin de retrouver les facteurs de l'autonomie financière régionale à laquelle le textile, industrie prépondérante dans cet arrondissement, contribuait largement.

Rencontre, en 2015, avec Philippe Van der Wees, le P-dg de l'enseigne française de librairies Cultura, qui livre les clés de son succès et dévoile les grands axes de son développement à venir. Une enseigne créée en 1998 seulement et qui comprend déjà 66 points de vente en 2015, ainsi qu'un site Web, et qui figure parmi les chaînes leaders avec un CA d'environ 200 millions d'euros sur le marché du livre. La croissance repose sur les ouvertures permanentes de points de vente et un budget d'investissement de 20 M EUR en moyenne par an.

Pour la pasionaria des petits actionnaires, les patrons français, de plus en plus puissants n'ont pas de réels contre-pouvoir. Parce que les administrateurs ne sont pas assez exigeants, et parce que les actionnaires votent rarement.

Il ne s'agit pas d'une de ces crises, violentes mais passagères, comme en ont connu tous les constructeurs automobiles. Car c'est après des années de déclin que Fiat Auto s'effondre.