Quatre ans après la création du Fonds africain de garantie, un millier d'entreprises ont obtenu des financements. Un résultat satisfaisant pour le patron ivoirien, qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.

Les revenus du premier groupe privé de Tunisie sont en hausse. Mais ses investissements massifs, réalisés alors que le pays stagnait et que la Libye s'effondrait, l'ont placé dans une situation financière délicate.

Concurrencée par les groupes du Golfe et les transporteurs low cost en Afrique de l'Est, la compagnie a annoncé une nouvelle fois des pertes.

Le quatrième projet de sauvetage de la compagnie camerounaise, élaboré par Boeing, a été approuvé par Paul Biya. Mais les professionnels se montrent plus méfiants.

Explications, en mars 2016, sur la baisse de valeur entraînée par la chute des prix du pétrole, dans le monde. Alors qu'en économie classique, on pense qu'un prix du pétrole bas est bon pour le marché des capitaux et l'activité économique, le prix de l'énergie ayant un impact sur les bénéfices des entreprises, la réalité est tout autre dans le cadre du krach de 2016 : les dettes du secteur engendrent des inquiétudes et a des conséquences déstabilisantes sur d'autres marchés.

Les fonds de private equity ont prospéré alors que presque toutes les autres formes d'investissement ont trébuché. C'est à la fois positif et dérangeant.

Les taux d'intérêt des crédits bancaires aux entreprises ont baissé très nettement en France ces dernières années. Cette baisse, qui s'inscrit dans le cadre de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), a surtout été sensible après la crise de 2008, la remontée des taux avec la crise de la dette souveraine dans la zone euro n'ayant été que de courte durée. Malgré cette baisse générale, la fourchette des taux pratiqués par les banques demeure assez importante. On constate même une tendance à une plus forte dispersion des taux depuis la crise.

Dans le secteur du numérique, quatre entreprises américaines - Google, Apple, Facebook et Amazon (GAFA) - exercent, depuis le milieu des années 2000, une hégémonie sans précédent. Alors que les entreprises américaines représentent près de 83% de la capitalisation boursière du secteur numérique, les GAFA se taillent la part du lion et ont généré, en 2013, autant de revenus que le produit intérieur brut (PIB) du Danemark.