Au-delà d'une certaine taille d'entreprise, on ne dit plus faillite mais enjeu de sécurité nationale

Les exportateurs paient aujourd'hui le prix d'une longue sous-évaluation des tarifs de l'assurance-crédit

Un petit rappel des multiples usages et vertus des produits dérivés en ces temps de remise en cause

Emetteurs et investisseurs redécouvrent les vertus de ce couple risque/rendement, à mi-chemin entre fonds propres et dette bancaire

La quête effrénée de liquidités reste bien d'actualité dans toutes les entreprises. La loi de modernisation de l'économie était censée réduire les délais de paiement, mais 14 secteurs, parmi lesquels les plus importants de l'économie, ont déjà demandé une dérogation jusqu'à 2010 !

Les actionnaires du premier tour ont du mal à financer les suivants.

Informations, en septembre 2010, sur l'essor du courtage en ligne qui propose désormais l'ensemble des produits d'épargne présents en France et des services et outils d'aide à la décision. Cependant, l'investisseur doit choisir son prestataire selon son degré de connaissance des mécanismes boursiers et sa capacité de conseil, ainsi que sa propre volonté de miser sur le court ou le long terme. Points abordés : le e-boursicoteur, autonome et averti ; courtage traditionnel ou courtage en ligne ? ; le courtage en ligne mise sur l'exhaustivité des produits...

Zoom, en octobre 2010, sur la démocratisation de la visioconférence dans les entreprises françaises, outil longtemps réservé au top management des grands groupes. Une solution qui permet la réduction du nombre et de la fréquence des voyages d'affaires, entraînant un gain de temps et d'argent pour l'entreprise, mais également de productivité.

Réflexion, en octobre 2010, sur la fragilité du modèle économique de l'agence de presse française AFP (Agence France Presse - CA de 270 millions d'euros), concurrencée par le développement de l'information numérique, et contrainte par une loi à ne pas pouvoir vendre directement ses informations aux particuliers. Sa gestion budgétaire est de plus calée sur une année, limitant ses capacités à mettre en place des plans d'investissements de long terme.

Lumière, en novembre 2010, sur les atouts de l'affacturage pour les sociétés françaises, qui leur permet de sécuriser le risque client et d'améliorer la gestion de leur trésorerie. Ce procédé simple est également moins risqué que l'escompte et la Loi Dailly. L'affacturage s'adapte particulièrement bien aux sociétés en développement, en France comme à l'étranger, et aux entreprises qui ont un besoin récurent de financement. Il représente néanmoins un coût non négligeable. Détails, avec quelques données chiffrées. Encadré : factoring en Europe, le Royaume-Uni, un marché atypique.

Lumière, en novembre 2010, sur les produits dérivés qui représentent des outils disponibles aux PME françaises pour se prémunir des risques financiers liés aux marchés des changes, de matières premières ou à l'évolution des taux d'intérêt mais auxquels les petites entreprises hésitent souvent à recourir. Les principales raisons : leur complexité et leur coût. Un suivi rigoureux est alors indispensable pour gérer les instruments financiers. Informations sur l'histoire des produits dérivés, dont l'essor dans le monde date des années 1970.

Lumière, fin 2010, sur les fonds garantis, qui connaissent en France un grand succès suite à la crise économique, avec des investisseurs désireux de privilégier des placements défensifs. Investir dans un fonds garantis n'est toutefois rémunérateur que sur le long terme, et sa rentabilité reste tributaire de la santé des marchés boursiers. Il convient également de s'assurer que le capital investi est assuré à 100 %. Malgré la sécurité offerte par ce type de fonds, les rendements peuvent s'avérer parfois décevants.