Avec ℗Julia & Roem® (Casterman), la star de la bande dessinée européenne s'attaque au mythe de l'amour absolu.

Dans "Hubris" (Gallimard), l'académicien Jean Clair montre que le monstrueux est devenu la norme dans l'art moderne.

Une activité très dense autour de son oeuvre donne l'occasion de revenir sur Georges Rousse. Depuis des années, sa pratique ne cesse de gagner à la fois en intensité et en raffinement. Démonstration sous les auspices d'Alberti.

La Fondation Maeght propose un dialogue entre ″la connaissance par la vue et par la pensée″, selon les termes de son directeur. Exposition singulière signée Bernard Henri-Lévy qui ne se visite pas en courant.

Pasolini se faisait une idée très haute du style, non seulement du style artistique mais aussi du style qu'engage la vie ordinaire, dans les gestes et les figures du quotidien. Il ne s'agit pas là d'une sacralisation de l'art et de ses oeuvres, mais d'une décision sur ce qui, dans toutes les formes, met en jeu la valeur même de l'humain.

La « double image », au coeur d'un riche ouvrage collectif, y est analysée comme un phénomène transculturel. Le dédoublement de la vision intéresse aussi l'artiste Hervé Beurel, qui bénéficie d'une monographie.

Né en 1921, ancien Résistant, Edgar Morin est philosophe, anthropo-sociologue, directeur de recherche émérite au CNRS. Plus de dix ans après avoir publié " La Méthode ", son oeuvre majeure, le penseur explore dans un nouvel ouvrage le champ de la connaissance.

Fondé par Hervé Di Rosa et Bernard Belluc, le Miam, Musée international des arts modestes à Sète, fête actuellement ses dix ans avec une exposition qui interroge "Les territoires de l'art modeste". Mais, au fait, c'est quoi "l'art modeste" ?

Pas facile de faire du cinéma quand on est le fils du peintre Pierre-Auguste Renoir... D'ailleurs, Jean ne l'appelait jamais "papa". Retour sur le duel entre deux rois de l'image, qui se ressemblaient trop pour ne pas s'affronter. PAR