La pandémie a eu de lourdes conséquences sur la France, jusqu’alors sur la bonne voie, déplore "Die Zeit". Mais rien n’est encore perdu. Vu du Royayme-Uni "La reprise s'annonce poussive" analyse "The Economist".

Pas besoin d'un diplôme en économie pour comprendre : la dette publique va exploser et la richesse nationale s'effondrer. Une question est sur toutes les lèvres : à qui envoyer la facture ? Pas aux patrons de PME déjà touchés. Pas aux classes populaires déjà sous l'eau. Aux multinationales ? Aux financiers ? Oui, à condition que le gouvernement le souhaite vraiment. Sommaire. Qui va payer ? Patrons, l'addition ! Ceux qui morflent déjà : restauration, tourisme, culture. La crise éco, cette grande faucheuse.

Homme clef du président, Alex Saab est poursuivi pour corruption par Washington. Arrêté en juin en Afrique, sera-t-il extradé aux Etats-Unis ? Caracas redoute plus que tout ce scénario.

Au grand dam des syndicats et du patronal, l'exécutif va ponctionner les caisses trop bien garnies de l'ex-1% Logement, avant de lancer une réforme.

Pour obliger le gouvernement italien à revoir sa copie budgétaire à la baisse, la Commission européenne compte sur les marchés financiers. Une stratégie risquée.

Le gouvernement veut rendre le budget compatible avec les ambitions écologiques de la France. Son projet de loi de finances pour 2020, présenté ce mois-ci, lèvera le voile.

5,5 % du PIB, et le gouvernement aussitôt d'annoncer son plan d'économies. Or, le problème est ailleurs : la moindre efficacité des recettes fiscales. Présence d'un second article intitulé "Augmenter les impôts, mais lesquels ?". Données chiffrées. Graphiques.

Sale temps pour les pauvres. Victimes collatérales de la une trop longue période de chômage. Leur sanction? Devenir mobilisation générale pour le plein-emploi, ils sont dans le encore plus pauvre. Pour les obliger à reprendre un boulot, on collimateur du gouvernement. Et tous ceux qui sortent du n'a rien trouvé de mieux à faire que d'accentuer leurs difficultés, rang sont sévèrement réprimandés. Leur faute? Ne pas accepter en réduisant leurs allocations, voire en les supprimant.

"Le Point" a suivi le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, et ses équipes (réduites).

Selon l'égérie américaine de la « théorie monétaire moderne », le retour de l'inflation est la seule limite à l'endettement public. Entretien à l'occasion de la parution en français de son best-seller, « Le Mythe du déficit » (Les Liens qui libèrent).

En 2007, José Socrates a administré un traitement de choc aux retraites pour sauver les finances publiques. Histoire d'un succès.

Acculé, le gouvernement envisage plusieurs pistes pour faire des économies. Mais semble ignorer le sujet crucial de l'efficacité.