Le président va participer à l'Assemblée générale de l'ONU. Retour sur les premiers pas de celui qui n'avait jamais fait ses preuves en politique étrangère avant d'entrer à l'Elysée.

l'ancien ministre dirige depuis le 1er janvier l'action culturelle extérieure de la France. Il sera amené à piloter des événements comme la Biennale de Venise et les Rencontres photo de Bamako.

Si l'Elysée s'est beaucoup mobilisé pour le soldat franco-israélien capturé par le Hamas, il a fait peu de cas du jeune militant franco-palestinien détenu en Israël depuis 2005.

François Hollande a choisi de nommer au Quai d'Orsay l'un de ses vieux rivaux socialistes plutôt que Pierre Moscovici, longtemps donné favori. Quelles sont les raisons de ce choix ? Et quelles en seront les conséquences diplomatiques ?

En politique étrangère, les Français se serrent les coudes alors que les Allemands multplient les polémiques. Surtout lorsqu'il s'agit d'envoyer des soldats.

Paris fait traditionnellement figure de gendarme de l'Afrique et reste fidèle à sa politique arabe. Ce qui l'a amené à négliger l'Asir, alors que l'avenir économique du monde s'y joue en grande partie.

Le nouvel occupant de l'Elysée a accordé une première interview à un groupe de correspondants. L'occasion d'évoquer divers problèmes diplomatiques. Un compte-rendu ironique du New York Times.

Oubliés les "opprimés du monde", dont Sarkozy promettait qu'ils trouveraient en France une oreille attentive. A la place, juge "El-Watan", s'impose la vieille politique du chéquier. Quant à la vocation universaliste, Nicolas Sarkozy la remplace par la "sensiblerie démagogique", s'emporte le colombien "Semana".

Un homme décontracté qui n'aime rien tant que les situations de crise, mais un chef de la diplomatie souvent guetté par l'impuissance : tel est Bernard Kouchner, vu par le journaliste américain James Traub, fin connaisseur de la France.

Les vacances du président ont été gâchées par plusieurs événements internationaux. Le chef de l'Etat s'est vu obligé de troquer son maillot de bain pour le costume, ironise le quotidien bulgare Dnevnik

Il y a quelques mois, la presse internationale était unanime à critiquer Sarkozy l'agité. Mais la Géorgie et la crise financière ont tout changé. Aujourd'hui, le monde nous l'envie