A l'occasion du renouvellement de son mandat de président de l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives), Dominique Garcia, professeur des universités, ancien membre senior de l'Institut universitaire de France et vice-président du Conseil national de la recherche, a bien voulu répondre à nos questions sur les nouveau enjeux de l'Inrap.

L’Inrap intervient partout sur notre territoire – y compris sous l’eau – afin de fouiller des sites archéologiques amenés à disparaître sous des pavillons, des routes, des internats... Son président, Dominique Garcia, nous raconte comment l’établissement est devenu un acteur majeur de la recherche en archéologie.

Nous vous en rendons compte régulièrement : l’archéologie ne cesse de se renouveler dans ses approches, ses méthodes ou ses outils. À la fin du mois, c’est l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) qui propose, lors d’une journée d’étude à Nîmes, « quelque chose de neuf », selon les mots de son président, Dominique Garcia. De quoi s’agit-il vraiment ? Il répond, avec Jean- Yves Breuil, directeur adjoint scientifique et technique interrégional Midi-Méditerranée à l’Inrap, à nos questions sur cet événement.

Et si l’archéologie était l’un des protagonistes essentiels à la connaissance de l’histoire de France et à la construction d’une identité française sans cesse en devenir ? C’est la démonstration apportée par un ouvrage collectif, dirigé par Dominique Garcia, président de l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap).