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Leave No Trace

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Bulletin : Première 488
Comment résister à Hollywood ? Comment échapper à l'hyperstandardisation du cinéma US ? Portée disparue depuis qu'elle a révélé Jennifer Lawrence dans "Winter's Bone", en 2010, Debra Granik raconte dans "Leave No Trace" l'odyssée d'une famille de marginaux. Et dresse son autoportrait de cinéaste en guerre contre le mainstream.
Numéros de page :
pp.80-85

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Elle nous avait éblouis avec son deuxième long métrage, "Winter's Bone", récompensé par le grand prix du festival de Sundance et celui du jury à Deauville en 2010. Nous l'avions rencontrée à la sortie du film en France, en 2011 (voir n° 601, p. 19), Yann Tobin faisait le point avec elle sur son parcours de cinéaste indépendante, depuis son premier court métrage, "Snoke Feed" (1997) et son premier long, "Down to the Bone" (2004). Debra Granik vient de présenter son dernier opus, Leave No Trace, à la Quinzaine des réalisateurs.
Numéros de page :
pp.24-26, 28-32

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Le film délicat et discret de Debra Granik, sur un père et sa fille vivant retirés dans une forêt, éclaire l’Amérique des marges. Il montre, dans une esthétique réaliste et poétique, les rapports de soin pour les êtres proches et la nature, la tentation de la fuite, l’inquiétude, l’émancipation et l’espoir d’une Amérique meilleure.
Numéros de page :
pp.190-200