Aller au contenu principal

Lifshitz, Sébastien (1968-....)

Article

Auteurs
Par le passé, nous n'avons pas été indulgents pour certains films de Sébastien Lifshitz, nous en avons négligé d'autres ("Les Invisibles", 2012). Pourtant, dans un bref compte rendu cannois (no 629-630, été 2013}, Nicolas Bauche le désignait comme "un cinéaste qui attend son heure de gloire". Primé à Locarno, "Adolescentes" a suscité dans notre rédaction une adhésion sans réserve : et si cette heure était arrivée ?
Numéros de page :
pp.6-13

Article

Auteurs
Les films documentaires de Sébastien Lifshitz prennent racine dans le présent et la photographie vernaculaire. Le cinéaste explique à François Jonquet de quelle manière il travaille à mettre en scène ce réel, afin de restituer une plus grande vérité.
Numéros de page :
pp.68-70

Article

Auteurs
Depuis dix ans Sébastien Lifshitz s'est éloigné de la fiction ("Presque rien", "Wild Side" ... ) au profit du documentaire ("Les Invisibles"). Avec "Adolescentes", il a filmé pendant cinq ans la mue de deux jeunes filles, de 13 à 18 ans. Rencontre avec un des portraitistes les plus fins et sensibles du cinéma français.
Numéros de page :
pp.24-28

Article

Auteurs
Bulletin : Première 506
Sébastien Lifshitz a suivi deux ados corréziennes, pendant cinq ans. Son film raconte leurs amours, leurs amis, leurs familles, leurs emmerdes ... avec une vérité saisissante. Le cinéaste et ses attachantes héroïnes nous dévoilent les secrets de fabrication d'"Adolescentes".
Numéros de page :
pp.66-71

Article

Bulletin : Première 506
Le cinéaste a filmé pendant cinq ans Le quotidien de deux adolescentes et restitue tout le mystère que recèle le passage du temps à ce moment décisif de la vie où tout se transforme. Un formidable documentaire.
Numéros de page :
pp.92-93

Article

Auteurs
Bulletin : Première 510
Sébastien Lifshitz a suivi deux ados corréziennes pendant cinq ans. Son film raconte leurs amours, leurs amis, leurs familles, leurs emmerdes... avec une vérité saisissante. Tous les trois reviennent sur le tournage d'"Adolescentes".
Numéros de page :
pp.40-43

Article

Auteurs
Dans "Adolescentes", Sébastien Lifshitz observe deux jeunes filles de Brive, de la 4e à la terminale. Un superbe film sur la jeunesse, la France dite profonde et le travail du temps.
Numéros de page :
pp.72-75

Article

Auteurs
Dans son oeuvre la plus dense, Sébastien Lifshitz chronique les premières fois d'Emma et Anaïs, qu'il a suivies de leurs 13 à leurs 18 ans. Un précipité bouleversant de notre époque.
Numéros de page :
pp.60-61

Article

Après ses magnifiques "Adolescentes" à la rentrée 2020, Sébastien Lifshitz s'attache à une nouvelle héroïne, enfant transgenre dont il filme les combats quotidiens. Un documentaire aussi élégant que bouleversant de sensibilité.
Numéros de page :
pp.52-53

Article

Auteurs
Pendant un an, le réalisateur Sébastien Lifshitz a suivi une famille dans laquelle un enfant né garçon, prénommé Sasha, énonce clairement dès l'âge de 3 ans être une petite fille. L’intime conviction de n’être pas dans un corps qui correspond à ses éprouvés et à ses désirs est appelée aujourd’hui « dysphorie de genre ».
Numéros de page :
pp.12-14

Article

Auteurs
Date parution pério
2023-06-10
Années 1950-1960, près de New York. Des hommes, maris et pères de famille, venaient vivre la différence de leurs désirs au sein de l'ultrasecrète Casa Susanna. Nourri par les témoignages de deux des protagonistes, le film de Sébastien Lifshitz retrace l'histoire de ce lieu précurseur.
Numéros de page :
pp.71-73

Article

Auteurs
Date parution pério
2024-04-15
Il a raconté un demi-siècle d'homosexualité ("Les Invisibles"), dépeint le quotidien de deux jeunes filles ("Adolescentes") et donné la parole à une enfant transgenre ("Petite fille"). Aujourd'hui, il revient avec "Madame Hofmann", un film qui suit une infirmière de l'hôpital Nord de Marseille. Pourquoi se passionner ainsi pour ces vies "anonymes" ? Et pourquoi ses documentaires, hors normes et multiprimés, sont-ils meilleurs que les autres ? Sébastien Lifshitz répond.
Numéros de page :
pp.72-77