Mazuy-Reggiani, Patricia (1960-....)
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Auteurs
Bulletin : Les Inrockuptibles 1181
Parmi les plus tempétueux talents du cinéma français depuis près de trente ans, Patricia Mazuy mène une carrière alternant les fulgurances - "Travolta et moi", "Saint-Cyr" - et les éclipses. Elle livre cette semaine un beau thriller, avec un Laurent Laffite en cavale, et revient sur son parcours, entre Dijon et Los Angeles, Agnès Varda et David Douillet.
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Numéros de page :
pp.34-38
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Auteurs
Kaganski, Serge null
Bulletin : Les Inrockuptibles 1181
Laurent Lafitte en présumé tueur en cavale dans le sud de la France. Un thriller social tendu, strié d'éclairs humoristiques bienvenus.
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Auteurs
Bulletin : Cahiers du cinéma 746 - août 2018
Le film commence comme une sorte de comédie de gendarmes, avec une sombre histoire mêlant voiture de sport, prostituée de parking, Johnny Depp et une gendarmette zélée. Et quand un gendarme rit dans la gendarmerie, tout débloque, du commandant au regard halluciné citant Machiavel à tour de bras à cette gendarmette dont on peine à cerner le degré de compétences. Sommaire. Coup de chaud. Un petit bout de France : Entretien avec Patricia Mazuy.
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Numéros de page :
pp.82-85
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Auteurs
Uzal, Marcos null
Bulletin : Cahiers du cinéma 766 - juin 2020
Ce n'est pas une actualité particulière qui nous a menés vers Patricia Mazuy, mais la meilleure des raisons: notre admiration pour ses films et pour la place très singulière qu'elle occupe aujourd'hui dans le cinéma français. Le confinement n'était pas au programme de cet entretien et pourtant, la conversation a parfois fait écho à d'autres articles de ce numéro : la circulation et la restauration des films, l'économie fragile de la distribution, le statut incertain des créateurs...
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Numéros de page :
pp.46-51
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Bulletin : Cahiers du cinéma 740 - janvier 2018
Les films qui sortiront au cinéma en 2018.
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Numéros de page :
pp.12-35
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Bulletin : Cahiers du cinéma 791
Date parution pério
2022-10-01
Puisant dans les codes du film noir, "Bowling Saturne" s'en distancie à bien des égards. Parmi les choix cruciaux de Patricia Mazuy, il y a celui de laisser exister le silence plutôt que de se reposer sur la musique pour entretenir une tension dramatique. Car son film est moins tendu vers des enjeux de surface que vers ce gouffre opaque que constitue la violence, au bord duquel elle se maintient sans jamais tomber dans la complaisance. Sommaire. Silence, Saturne, la critique du film. Masculin féminicide, entretien avec la réalisatrice. Animal on est mâle, encadré.
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Numéros de page :
pp.102-108
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Bassan, Raphaël null
Bulletin : Europe 1123
Date parution pério
2022-11-01
Depuis "Peaux de vaches", son premier long métrage sorti en 1989, Patricia Mazuy a su imposer un style proche de celui de Maurice Pialat, où l'affrontement entre individus agit comme un révélateur social. Son cinéma n'est ni réaliste ni naturaliste mais suit les évolutions de protagonistes qui, très souvent dans leur jeu, dépassent le cadre de leurs personnages. Ils vont au bout de leurs fantasmes ou cèdent à leurs pulsions, se livrant à des actions physiques qui servent de moteur à l'action.