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Lapid, Nadav (1975-....)

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Fallait-il s'attendre à ce que le meilleur film français vu depuis longtemps nous viennent d'un réalisateur israélien ? Si c'est toujours une gageure de filmer dans un autre pays, et qui plus est dans une langue étrangère - il arrive en effet souvent que l'acuité d'un regard se dissolve au profit d'un imaginaire pittoresque -, cette difficulté peut s'avérer d'autant plus grande pour un réalisateur d'un pays comme Israël dont on semble attendre avant tout qu'il témoigne de ce pays, et à charge de préférence.
Numéros de page :
pp.6-8, 10-16, 18-19

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Bulletin : Politis, 1662
Premier volet de notre traditionnel « Journal de Cannes », en compagnie de deux réalisateurs et d’une réalisatrice au regard politique et empathique.
Numéros de page :
pp.28-29

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Bulletin : Politis, 1671
Dans "Le Genou d’Ahed", Nadav Lapid met en scène un cinéaste en révolte contre son pays, Israël. Il explique ici les liens intimes et politiques qui l’ont amené à réaliser ce film époustouflant.
Numéros de page :
pp.24-26

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Nadav Lapid signe un des grands films de ce début d'année. "Synonyme", Ours d'or à Berlin, conte l'histoire d'un jeune Israélien qui fuit son pays pour s'installer à Paris. La mise en scène est virtuose, et le film est intelligemment politique. Rencontre au long cours avec le réalisateur. En complément, un article intitulé "La Belle équipe", dans lequel "Transfuges" interroge les acteurs, le chef-op, les coscénaristes et le mixeur son.
Numéros de page :
pp.52-65

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Après les remarqués et remarquables "Le Policier" et "L'Institutrice", Nadav Lapid a tourné "Synonymes", un film inspiré de sa jeunesse à Paris, ville où le cinéaste israélien découvrit le cinéma. Ours d'or à Berlin, une oeuvre qui s'impose comme l'objet de cinéma le plus fulgurant de ce début d'année. En complément de l'interview du réalisateur, la critique du film "Synonymes" par Jacky Goldberg.
Numéros de page :
pp.20-27

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Le réalisateur du brillant "Synonymes" n'a pas manqué ses débuts dans la compétition cannoise, d'où il est reparti auréolé d'un prix du jury. Ou grand cinéma autobiographique et politique qui vous laisse KO debout !
Numéros de page :
pp.78-79

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Bulletin : Europe 1080
Date parution pério
2019-04-01
Remarqué pour "Le Policier" (2011), et surtout, "L'Institutrice" (2014), le cinéaste israélien Nadav Lapid semble éprouver un désamour profond pour sa patrie. Dans "Le Policier", il mettait aux prises un groupe de jeunes militants d'extrême-gauche israéliens avec une unité de la police antiterroriste. Lapid évoquait alors une situation non pas factuelle mais imaginable. Son exploration d'un état de crise et de mal-être se poursuit d'une autre façon dans "Synonymes", Ours d'or au festival de Berlin en 2019.
Numéros de page :
pp.325-327

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Date parution pério
2022-02-01
Avec un Ours d'or berlinois, un prix lors du dernier Festival de Cannes, et même un remake hollywoodien de l'un de ses films, il est évident que Nadav Lapid est aujourd'hui un membre confirmé du fameux cercle fermé des auteurs internationaux. Il est tout aussi évident qu'il est le plus célèbre, le meilleur représentant (il n'est pas vraiment, et ne le souhaite sans doute pas, un chef de file) de la nouvelle génération des auteurs de son pays.
Numéros de page :
pp.2-77

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Date parution pério
2021-09-01
Une jeune femme en moto, suivie par une caméra douée d'une saisissante ubiquité ; une combinaison de cuir dézippée ; un collant déchiré pour exposer un genou ; un tweet nationaliste récité syllabe par syllabe ; une chanson chantée face caméra ; une vidéo YouTube. Pendant les premières minutes du nouveau film de Nadav Lapid, les images, les registres, les échelles se télescopent avec une énergie rappelant celle qui irriguait "Synonymes".
Numéros de page :
pp.18-20, 22-25

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Bulletin : Transfuge 150
Date parution pério
2021-09-01
Avec "Le Genou d'Ahed", Nadav Lapid signe un film qui carbure à l'urgence et à la rage. Mais aussi à la pensée.
Numéros de page :
pp.68-72