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Mihalkov-Končalovskij, Andrej Sergeevič (1937-....)

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Sa filmographie le montre assez, Andreï Konchalovsky aura cultivé toute sa vie une manière singulière d'être libre : en élargissant les failles que le hasard ouvre dans le sombre destin que dictent le pouvoir politique ou les puissances d'argent. C'est la condition du travail artistique, dans les conditions où il s'est établi depuis la Renaissance et dont dépend toujours le cinéma. En peignant les combats, les échecs, les ruses, la constance et les audaces de Michel-Ange, le cinéaste a sans doute songé à ses propres aventures en Union soviétique, aux Etats-Unis, en Russie et en Europe.
Numéros de page :
pp.6-12

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Andrei Konchalovsky signe avec "Michel-Ange" un audacieux biopic du génial artiste de la Renaissance. Alors que son dernier film, "Chers camarades", a obtenu le Prix spécial du jury à Venise, "Transfuge" a eu la chance de pouvoir s'entretenir longuement avec ce grand du cinéma russe.
Numéros de page :
pp.48-53

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Auteurs
ll y a trois ans, on quittait le cinéaste en pleine mélancolie, filmant les eaux calmes d'un lac de la Russie du Nord-Ouest ("Les Nuits blanches du facteur", 2014). Aujourd'hui octogénaire, il revient en clinicien regardant le mal en face.
Numéros de page :
pp.46-47

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Auteurs
Dans son dernier film, Andreï Konchalovsky, 83 ans, raconte comment, en 1962, sous Khrouchtchev, les agents du KGB ont tiré sur les ouvriers d'une usine soviétique, et réveille un passé qui passe mal. Entretien.
Numéros de page :
pp.66-68

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Date parution pério
2023-03-01
Andreï Kontchalovski et Nikita Mikhalkov, deux frangins qui jouent les propagandistes en chef.
Numéros de page :
2 p. / p. 76-77 : ill. en coul.