Contrôler son cerveau reptilien, faire travailler son cerveau droit et pas seulement le gauche, être en quête d'un « shoot» de dopamine : vous avez sans doute croisé ou même employé ces expressions qui viennent des neurosciences... mais ne reposent sur aucune base solide ! Le chercheur et psychologue clinicien Albert Moukheiber revient en cette rentrée 2024 avec un essai batailleur, "Neuromania" (Allary Editions), où il dézingue nos idées reçues sur l'organe de la pensée.

Jusqu'à la fin de notre vie, nous pouvons apprendre, progresser, retarder les effets du vieillissement. C'est le message optimiste de Stanislas Dehaene dans son livre "Une idée dans la tête" (Odile Jacob). Sommaire. Plus fort que l'IA... notre cerveau, entretien avec Stanislas Dehaene. Développer ses facultés à tout âge. Vaincre alzheimer : les nouvelles armes secrètes. Bien nourrir ses neurones.

Cet ouvrage, coécrit par des chercheurs et des enseignants du laboratoire Grene Monde aborde six thématiques, et, pour chacune d'elles, fait le point sur l'état des recherches, présente des expériences de terrain, de la maternelle au post bac, et suggère des lectures complémentaires, des vidéos, des sites. Dès l'introduction, les auteurs analysent les raisons pour lesquelles le système est « en panne d'évolution ». "Les Cahiers" livrent une critique de l'ouvrage et interrogent les auteurs.

Jean-Michel Blanquer veut s'appuyer sur les neurosciences cognitives pour réformer l'école. En complément, interview de Stanislas Dehaene, neuroscientifique, expert en psychologie cognitive expérimentale : "Bien avant de parler, le bébé a des intuitions mathématiques".

Enfin, on commence à comprendre comment le cerveau analyse et mémorise. Des découvertes décisives pour l'école.

Si nous sommes rivés en permanence à nos écrans pour échanger, consulter, communiquer et acheter, ce n'est pas un hasard : Google, Amazon et autres Facebook sont conçues exprès pour exciter des zones bien précises de notre cerveau et, ainsi, captiver notre attention. Une manipulation qui s'appuie sur certains de nos ressorts évolutifs. Sommaire. tflix, Facebook, Google... Notre cerveau adore. Les neurosciences expliquent pourquoi. Les notifications prennent en otage notre lobe pariétal. Les gratifications immédiates flattent notre système limbique.

L'étude du cerveau des danseurs révèle à quel point les interactions avec le corps façonnent la perception de soi et du monde. Entretien avec un spécialiste de neurosciences cognitives.

Ces dernières années, les neurosciences ont fait une entrée fracassante dans notre société, tant dans la culture populaire que dans le monde de l'enseignement. Partout, tout le temps, nous essayons de comprendre quels extraordinaires mécanismes cérébraux se cachent derrière notre comportement. Cependant, parmi toutes les croyances populaires sur le fonctionnement de notre cerveau, beaucoup sont ce que l'on appelle des neuromythes, c'est-à-dire des croyances certes très répandues, mais totalement fausses.

Avec « Le Cinéma intérieur, projection privée au coeur de la conscience » (Odile Jacob), le neurologue et chercheur Lionel Naccache offre une plongée fascinante dans les rouages cérébraux impliqués dans la façon dont nous reconstruisons l'univers qui nous entoure.

Ces dernières années, une poignée d'équipes de recherche ont patiemment observé et documenté des centaines de cas d'expériences de mort imminente. Ces études, en se rapprochant de ce qui sépare la vie et la mort, ouvrent de nouvelles pistes pour saisir la nature de la conscience. Sommaire. Les confins de la conscience explorés grâce aux expériences de mort imminente. Théories de la conscience : un consensus impossible ?