Cette année, on célèbre les 500 ans d'une disparition, brûlante d'actualité: celle du peintre italien Raphaël, emporté en 1520 lors d'une épidlémie de malaria. Célébré à travers de nombreuses expositions, il a influencé beaucoup de peintres, d'Ingres à Picasso, avant de sombrer dans l'oubli. Explications.

Le Musée Marmottan Monet présente les Mondrian de la collection Slijper. Ce premier et grand mécène du maître avait une prédilection pour ses oeuvres figuratives. L'occasion de redécouvrir un pan moins connu de l'oeuvre du peintre.

En 1890, à 27 ans, Paul Signac réalise cet étrange portrait du critique d'art Félix Fénéon. Celui-ci est aujourd'hui le sujet d'une double exposition à Paris, au Musée du quai Branly et, bientôt, au Musée de l'Orangerie.

En Flandre (actuelle Belgique), au 15e siècle, un artiste a porté la manière de peindre à sa perfection : Jan Van Eyck. Léonard et Joconde, toujours prêts à rencontrer un génie, se sont rendus dans son atelier pour lui poser quelques questions, afi n de comprendre tout ce qu’il a apporté de nouveau à la peinture ! Sommaire. Jan Van Eyck. La restauration de "L'Agneau mystique". "La Vierge du chancelier Rolin" de Van Eyck.

« Enfin je t’envoie un petit croquis pour te donner au moins une idée de la tournure que prend le travail. Car aujourd’hui je m’y suis remis... » écrit Van Gogh à son frère Theo le 16 octobre 1888. A Arles, où il travaille, Van Gogh vient de déménager et dessine sa nouvelle chambre à coucher, qu’il veut peindre. Voici la version numéro 1 conservée au Van Gogh Museum !

C'est un tableau un peu à part. Conçu en Angleterre par un Britannique né en France, "Sous le pont de Hampton Court" érige son auteur en parfait laborantin, capable de multiplier les essais comme les précipités.

Après avoir reproduit quasi parfaitement un autoportrait de Rembrandt, Microsoft et des universitaires néerlandais vont encore plus loin en créant, à grand renfort d'intelligence artificielle, une oeuvre inspirée du peintre flamand. Bluffant.

La nouvelle exposition consacrée à Suzanne Valadon par le Musée d'arts de Nantes redonne à cette dernière la place que ses pairs lui ont reconnue de son vivant. Et nous invite à redécouvrir son oeuvre.

Une exposition souligne le goût du peintre pour le Moyen-Age, époque dans laquelle il trouvait à étancher sa soif d'onirisme.

« Je commence toujours une toile par le ciel », explique l'artiste imperméable aux activités des hommes. Impressionniste jusqu'au bout des pinceaux, il ne cessera de capter les variations, infimes ou retentissantes, de la nature. En complément, une étude commentée de la toile "Inondation à Port-Marly" de 1872 conservée à la National Gallery of Art de Washington.