Reprise bien amorcée et aura internationale retrouvée, le pays affichait ces deux dernières années un front plutôt serein. Mais depuis janvier 2018, la grogne sociale monte. Quant au climat politique, après les locales et avant les législatives, en septembre 2018, il est de nouveau agité. Sommaire. Une année sous tension. Mamady Youla, Premier ministre : "Notre défi est de passer du potentiel au concret". Kaloum choisit "la fille de Sékou". Faya Millimouno : "Mon avantage ? je n'ai encore jamais gouverné". Economie : relance sous surveillance.

Sur le sable de Palavas-les-Flots, habitants et touristes, "textiles" et non-partisans du maillot, se côtoient sans se mélanger. Ambiance.

Insécurité, pollution, harcèlement, incivisme et cherté des services… Si autrefois les familles algériennes s’y rendaient pour se détendre, aujourd’hui les bords de mer sont devenus un lieu de stress.

Un décret vieux de dix ans contraint aujourd'hui à démolir des commerces situés sur une bonne partie des plages privées françaises. Sur la Côte d'Azur, restaurateurs et hôteliers sont sur le pied de guerre.

Ils surveillent les plages les plus dangereuses du littoral, bravent les courants et la puissance des rouleaux. A Seignosse, dans les Landes, CRS et sauveteurs civils passent l'été l'oeil rivé sur la mer.

Ils sortent en mer par tous les temps et sont les derniers à rentrer au port. A Hendaye, sur la Côte basque, les sauveteurs en mer, tous bénévoles, forment une équipe soudée par un même idéal : sauver des vies même au péril de la leur.

A la pointe sud-ouest de l'Angleterre, les vagues rejettent inlassablement ce matériau sous toutes ses formes. Pour combattre le fléau, la fin du "“tout jetable" est indispensable, observe cette journaliste du "Times".