Depuis les attentats de 2015, les sociétés de vigiles se sont multipliées et se livrent une féroce guerre des prix. Quitte à rogner sur les prestations.

Les combats qui secouent Tripoli depuis la fin du mois d’août 2018 reposent la question du rôle des groupes armés. Et jettent le doute sur l’efficacité du processus politique défendu par la communauté internationale.

Confrontées à la baisse du nombre de gardiens de la paix, plusieurs localités se tournent vers des patrouilles privées. Quitte à faire payer les administrés et à susciter le malaise.

En première ligne en Ukraine, ce groupe soi-disant privé tisse aussi sa toile au Moyen-Orient et en Afrique, où il menace la France. Sommaire. Wagner, bras armé de Poutine contre l'Occident. Saint-Pétersbourg, la matrice de l'empire Prigojine. La Centrafrique, une "colonie russe". Quand un mercenaire raconte l'enfer. Prigojine et Choïgou, ennemis jurés. Benjamin Haddad : "Une guerre hybride contre nos démocraties".

Au-delà de ses activités militaires aux côtés des forces armées centrafricaines et maliennes, le groupe de mercenaires russe a ouvert un autre front, économique celui-là. Avec à la clé des profits juteux. Sommaire. Prigojine et la mafia du diamant. La ruée vers l'or.

Le 19 janvier 2024, trois agents de sécurité du quartier naturiste du Cap d'Agde seront jugés pour une série de violences en réunion perpétrées sur au moins quatre victimes entre 2021 et 2023. Les services municipaux auraient-ils fermé les yeux pour couvrir un proche du maire ? Révélations.

Le fondateur du groupe de mercenaires Wagner n’est pas la première figure publique à mourir dans de curieuses circonstances. Mais avec le crash de son jet privé, le 23 août, la violence a franchi un nouveau palier, analyse la journaliste américaine Anne Applebaum. Sommaire. La mort de Prigojine annonce une ère de violence. Pour les Russes, l'ambivalent parcours d'un héros. En Afrique, Moscou n'a plus de paravent.

Les ministres des affaires étrangères du G5 Sahel – Mauritanie, Tchad, Mali, Burkina Faso, Niger – ont désigné le SRAS-CoV-2 « ennemi numéro 1 » lors d’une visioconférence le 15 avril 2020. Pour autant, ils n’abandonnent pas la lutte contre les groupes terroristes, qui multiplient les attentats meurtriers. L’essor de milices privées, lui, accroît l’insécurité, notamment au Burkina Faso