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Rasoulof, Mohammad (1973-....)

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Le 6 décembre 2017, "Un homme intègre" sortira en France. Mais le cinéaste iranien ne devrait pas pouvoir venir assurer la promotion de son film : accusé d’atteinte à la sécurité nationale, il a vu son passeport confisqué. Il risque la prison. Critique et questions au réalisateur.
Numéros de page :
pp.56-57

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Auteurs
Bulletin : Première 2021
Auréolé d'un Ours d'or à la dernière Berlinale pour son formidable "Le Diable n'existe pas", le cinéaste iranien reste en liberté surveillée dans son pays qu'il n'a pas le droit de quitter. Portrait d'un artiste toujours debout malgré les vents contraires.
Numéros de page :
pp.44-47

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Auteurs
Bulletin : Première 2021
Le réalisateur d'"Un homme intègre" s'attaque à la peine de mort en Iran avec un film en quatre chapitres et quatre styles différents. Un plaidoyer rageur et énervé, tourné en clandestin, mais qui n'oublie pas d'être grandiose et romanesque. Immense à tous les niveaux.
Numéros de page :
pp.82-83

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Mi-septembre 2017, de retour du festival de Telluride, aux Etats-Unis, Mohammad Rasoulof a été retenu deux heures à l'aéroport de Téhéran. Il s'est vu confisquer son passeport, avant d'être convoqué sans la moindre explication devant le parquet chargé des médias et de la culture. A tout moment, nous rappelle l'entretien réalisé au festival de Cannes avant qu'"Un homme intègre" ne reçoive le prix Un certain regard 2017, sa condamnation à un an de prison après la sortie du film "Au revoir" peut le conduire derrière les barreaux.
Numéros de page :
pp.18-25

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Une définition du désordre. En cette année olympique, le palmarès du 77e Festival de Cannes finit médaille d'or du saut en stupeur. "Télérama" décrypte cette édition 2024.Sommaire. A côté de la Palme. Cinéma, vie, liberté, le sacre de Mohammad Rasoulof. Les temps forts du festival.
Numéros de page :
pp.14-23

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Auteurs
Date parution pério
2020-12-01
Le cinéma de l'Iranien Mohammad Rasoulof n'a pas eu des aléas qu'avec la censure de son pays. Sur ses huit longs métrages, tous primés dans des festivals internationaux, la moitié seulement est sortie dans les salles françaises : "La Vie sur l'eau" (2005), "Au revoir" (2011), "Un homme intègre" (2017) et bientôt "Le diable n'existe pas". Deux de ses films les plus récompensés, "The White Meadows" (2009) et "Les manuscrits ne brûlent pas" (2011) n'ont pu être vus, hors festivals, que dans des rétrospectives comme « Un état du monde » au Forum des images (2017).
Numéros de page :
pp.14-21

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Date parution pério
2024-09-21
Ses films exhortent les Iraniens à résister aux mollahs. Pour échapper à la prison, le cinéaste a dû se résoudre à l'exil en Allemagne. Et ne désarme pas.
Numéros de page :
pp.3-4, 6, 8

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Auteurs
Date parution pério
2024-09-19
Mohammad Rasoulof met magistralement en scène un violent conflit familial directement lié à l’opposition entre le régime iranien et le mouvement « Femme, vie, liberté ».
Numéros de page :
pp.26-27

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Date parution pério
2024-09-05
Zar Amir, Azar Nafisi. L'une est actrice, l'autre, écrivaine. Toutes les deux sont iraniennes et vivent en exil mais continuent à se battre. "Le Nouvel Obs" a fait se rencontrer l'interprète et coréalisatrice de "Tatami" et l'autrice de "Lire dangereusement". En conclusion de l'interview, le portrait de Mohammad Rasoulof, cinéaste iranien en exil.
Numéros de page :
pp.60-65

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Date parution pério
2024-09-01
Au début, les films de l'Iranien Mohammad Rasoulof ne nous parvenaient pas, puis nous les avons vus au compte-gouttes. D'emblée s'y signalait un cinéaste majeur. À Cannes, dans la section Un certain regard, il présentait Au revoir en 2011, puis, en 2013, le brûlot Les manuscrits ne brûlent pas, égrenant sur scène les noms de ses collaborateurs qui ne pouvaient pas risquer de figurer au générique. Depuis, c'est la consécration à l'étranger et un calvaire dans son pays, où il fut emprisonné.
Numéros de page :
pp.6-8, 10-14

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Auteurs
Date parution pério
2024-09-19
Les "Graines du figuier sauvage", le nouveau film de l’Iranien Mohammad Rasoulof, est en salle. Inspiré par le mouvement Femme, vie, liberté, ce film puissant a marqué un point de non-retour pour le cinéaste, contraint à un douloureux exil.
Numéros de page :
pp.46-47

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Date parution pério
2024-09-01
Le 'ficus religiosa', dont les graines, "contenues dans les déjections d'oiseaux, chutent sur d'autres arbres",et qui finit par "étrangler l'hôte autour duquel il s'enroule", fournit à Mohammad Rasoulof son exergue et son titre en même temps qu'un écueil aux proportions d'iceberg : chez le fabuliste qui fit déjà par le passé de divers lieux clos (prison, paquebot, maison) les métaphores d'un État iranien étouffant et déliquescent, la description d'un système foncièrement coercitif est à la fois massive et d'une grande netteté de trait.
Numéros de page :
pp.38-39