Laisser-aller libérateur, le rire peut aussi être une complaisance dont il vaut mieux s'abstenir.

A Berlin, des chercheurs croient avoir percé le mystère du rire. En tout cas, de celui des rats. Leur cerveau renferme des zones sensibles.

Chanteuse et clowne, Nathalie a enfourché son vélo. Direction : les routes japonaises pour une tournée dans les rues et les écoles, derrière son précieux nez rouge.

Jaune, blanc, noir..., notre rire a non seulement différentes couleurs, il change aussi en fonction de l'âge, du sexe et des personnalités.

Cohésion du groupe, performances au travail, séduction ... La capacité à distiller quelques bonnes blagues est un atout dans de nombreux domaines !

L'hilarité collective qui emplit une salle de cinéma procure un bonheur magique et universel. Mais comment et pourquoi éclate-t-on de rire devant un écran ? Plutôt que de répondre à la question par une impossible encyclopédie, en soixante pages, du cinéma comique, nous l'avons formulée autrement. En douze décennies de création cinématographique, de quoi a-t-on ri à telle époque et en tel endroit de la planète ? Les formes stylistiques et humoristiques apparues ici, renouvelées là, sont-elles liées à un état de la société, à des impératifs économiques, au génie imprévisible d'un créateur ?

Rire à en mourir... Parfois, l'expression est proche de la réalité. Un abcès au cerveau, et le rire devient irrépressible. C'est l'incontinence émotionnelle, pathologie rarissime qui, paradoxalement, en dit long sur les secrets du rire

Découverte surprenante : les rats rient ! Pour observer ce penchant que l'on croyait réservé aux primates, les scientifiques ne font rien d'autre que... les chatouiller.

Des expériences ont permis de découvrir des neurones sensibles aux chatouilles. Ils expliquent en partie l'origine et la fonction potentielle de cette étrange réaction.