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Syrie

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Les SOS de l'ONU et les larmes d'Erdogan sur "la pire catastrophe humanitaire du siècle" effacent le véritable enjeu de la bataille d'Idlib, ultime bastion djihadiste face à l'offensive d'Assad et de son allié russe.
Numéros de page :
pp.32-35

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Face à l’impunité des crimes commis en Syrie, il est possible de promouvoir de nouvelles formes de justice. Cette inventivité et ce volontarisme sont indispensables pour dépasser le blocage actuel des juridictions internationales, d'autant plus choquant que jamais une guerre en cours n'aura été autant documentée que celle-ci.
Numéros de page :
pp.44-56

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Ainsi, le président Erdogan a réussi son pari et a " présidentialisé " le système politique turc à la faveur du référendum organisé le 16 avril 2017. Certes, sa victoire est courte (51,4 %) et surtout entachée de fraudes massives que le Haut Conseil électoral ne tente même plus d'occulter, mais comme Erdogan l'a rappelé, le " cavalier a déjà traversé la rivière ".
Numéros de page :
pp.57-68

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Lorsque le soulèvement en Syrie commence, le gouvernement de Nicolas Sarkozy est encore en guerre en Libye, il a mal géré la révolution en Tunisie et l’un des alliés historiques de la France dans la région, Hosni Moubarak, vient de tomber en Egypte. Très vite, les autorités françaises condamnent la répression féroce que le régime Assad oppose aux manifestations pacifiques. Le ministre des Affaires étrangères de l’époque, Alain Juppé, est la première personnalité étrangère à déclarer que Bachar al-Assad a perdu toute légitimité.
Numéros de page :
pp.10-14

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Le conflit syrien nous interroge sur l'impunité des responsables des crimes les plus graves, qu'ils soient issus du régime ou des autres forces en présence. La question de la justice est dès à présent cruciale pour que, lorsque les armes se seront tues, le peuple syrien puisse se reconstruire.
Numéros de page :
pp.19-23

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Le retrait des forces armées syriennes en avril 2005, après l’immense colère populaire provoquée par l’assassinat de l’ancien premier ministre Rafic Hariri, ouvre une période d’espérance dans le pays du Cèdre. Mais l’immobilisme de la classe dirigeante et la persistance d’ingérences étrangères empêchent toute amélioration de la situation politique et économique. Déçue, la population finit par investir la rue en 2019. Sommaire. Un conflit de 33 jours. Alliance historique dans le camp chrétien. En attendant la manne gazière. L’ombre des disparus. Le Hezbollah maître des armes.
Numéros de page :
pp.66-98

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La récente invasion de la Syrie du Nord-Est par la Turquie, après le retrait des troupes américaines décidé par Donald Trump le 7 octobre 2019, a été l’occasion pour les médias de s’intéresser à nouveau aux Unités de défense du peuple (YPJ), ces bataillons féminins qui ont livré un courageux combat au sein des Forces démocratiques syriennes contre les djihadistes de l’Etat islamique au prix d’un sacrifice élevé (11 000 combattants tués) et qui tentent désormais d’empêcher les soldats turcs et leurs supplétifs de l’Armée nationale syrienne de réitérer les mêmes exactions qu’à Afrin.
Numéros de page :
pp.26-31

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Situé en zone de conflit et ayant été touché par des raids, ce barrage du nord-est de la Syrie peut céder dans les prochains jours, noyant des régions entières, syriennes comme irakiennes, et menaçant la vie de 3 millions de personnes.
Numéros de page :
p.20

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"America first" n’est plus d’actualité. En bombardant la Syrie, puis en envoyant un porte-avions vers la Corée du Nord, le président américain a revêtu des habits de chef de guerre. Au risque d’une escalade incontrôlable. Les réactions de la presse américaine, moyen-orientale, russe, chinoise… Sommaire. Trump a-t-il franchi le Rubicon ? Et après, la Corée du Nord ? Moscou doit saisir sa chance. Pour l'Iran, c'est la méthode Bush. Le monde arabe divisé. L'erreur de calcul de Bachar El-Assad. Poutine a donné son feu vert à l'attaque au gaz sarin.
Numéros de page :
pp.14-18

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L’intervention militaire du 6 avril 2017 décidée par Donald Trump ne changera pas la donne. Toutefois, elle permet de rendre l’utilisation de l’arme chimique plus difficile, accroît le fossé entre Washington et Moscou, et fragilise le régime d’Assad.
Numéros de page :
p.20

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L’organisation islamiste avait pour ambition de créer sur son territoire des institutions exemplaires. Elle a pourtant adopté les mêmes pratiques de népotisme et de favoritisme que dans la Syrie d’Assad.
Numéros de page :
p.21

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En s'imposant comme l'arbitre du conflit syrien, l'autocrate a remis la Russie au centre des relations internationales. Quitte à raviver des tensions.
Numéros de page :
pp.40-42