Emergence du blended-learning, solution mixant présentiel et e-learning, dans le secteur de la formation continue, en France, en 2012. La méthode supplante largement l'e-learning, critiqué pour sa froideur, son manque de dynamisme et son absence d'humanité. Toutefois, le blended-learning suscite la méfiance de certaines entreprises pour des questions de coûts, et comme dans tout produit d'assemblage, la réussite de la technique passe par le bon choix. Des précisions sur les facteurs du succès du blended-learning.

Evolution des méthodes employées en termes de formation par les entreprises françaises, dans un contexte d'évolution des modes de travail. L'accroissement du rythme de travail et la mobilité des salariés entraînent les entreprises à compléter leurs dispositifs de formation avec de nouveaux outils tirant partie des dernières évolutions technologiques : mobile learning, rapid learning ou encore social learning. Les deux premières solutions sont principalement préconisées pour faire passer des formations courtes.

Microsoft lance la ″classe immersive″, qui réunit les outils numériques au service de l'apprentissage des connaissances. Mais qu'y apprend-on ?

La question de savoir s'il faut utiliser le numérique ou pas à l'école n'est plus pertinente, tant le numérique s'est imposé dans tous les pans de la vie. Seulement, entre cette nécessité et une mise en place qui fasse réellement mieux apprendre, les enseignants se retrouvent un peu dépourvus.

En vingt-cinq ans, l'informatique a bouleversé notre univers professionnel et familial, personnel et collectif, au point que l'on peut véritablement parler d'une "révolution numérique", probablement aussi importante que celles que constituèrent, jadis, l'apparition de l'écriture, puis celle de l'imprimerie.

Venant contester le monopole de l'école dans la transmission des savoirs, interroger les pédagogies traditionnelles, le numérique est souvent vécu comme une agression dans le monde scolaire. A ne pas s'adapter à cette transformation de la société, l'école laisserait le champ libre à la marchandisation de l'éducation.