En jouant sur la créativité et les accessoires, le géant américain du "casual wear" cherche à retrouver un rôle de premier plan sur la planète mode. Et parie sur un trio de fashionistas.

L'espagnol Inditex, propriétaire de Zara, et son rival anglais débarquent en France pour se mesurer dans le prêt-à-porter à petits prix.

Autrefois réservée au domaine du luxe, la personnalisation envahit désormais l'ensemble du marché de la mode. Cet engouement reflète un paradoxe assez courant : vouloir se démarquer tout en suivant la tendance. Analyse.

Le géant américain investit la "fashion" en misant sur sa force de livraison. Une incursion surveillée de près par la concurrence, qui commence à s'inquiéter.

Proximité, réactivité, robotisation, petites séries, à contre-courant des recettes existantes, le modèle inventé par le créateur d'Inditex est en train de conquérir le monde.

2013 : les trois grands monstres de la ″fast fashion″ rivalisent pour la première place. Zara, en tête jusqu'alors, réussira-t-il à conserver son avance ?

Au nord de l'Italie, ce site de vente en ligne s'appuie sur une logistique imparable et une analyse pointue des données pour vendre ses vêtements dans le monde entier.

Il n'y a pas que les ménagères adeptes de la coach TV qui tentent de changer d'image. Chaque année, des marques en perte de vitesse passent par ce processus identitaire complexe et risqué.

Le champion mondial du prêt-à-porter doit son succès à sa capacité à s'adapter au plus vite aux désirs de ses clientes et à raccourcir les délais entre la création et la vente. Un système que ses concurrents, Gap, H & M..., auront du mal à imiter.