S'il répond à des exigences de sécurité, ce dispositif de contrôle appelé à se développer suscite aussi de nombreuses inquiétudes, notamment éthiques.

Entre fascination, polémiques, enjeux politiques et économiques, la technologie issue de la recherche en vision par ordinateur permet diverses applications. Mais c'est la surveillance qui inquiète le plus, pour des performances loin d'être optimales.

Des caméras intelligentes sont installées dans des entreprises pour contrôler le respect des distances entre les employés ou leur température.

Les outils intelligents veillent au respect des gestes-barrière. Quitte, parfois, à faire fi du droit.

Le groupe a créé une gamme de caméras et de drones pour surveiller les domiciles des Américains et, si besoin, alerter la police. De quoi effrayer les défenseurs de la vie privée.

Que ce soit pour circuler, consommer ou accéder à des données, le visage sert de plus en plus de passeport. Or, la reconnaissance faciale ne s'arrête pas à l'authentification : elle peut aussi servir à contrôler les gens à distance et même à décrypter leur caractère ou leur orientation sexuelle. Une "inquisition" qui inquiète jusqu'aux chercheurs en I.A.

Malgré les mises en garde de la Cnil, la reconnaissance faciale tend à se développer en France en 2020. Le gouvernement encourage cette pratique, avec par exemple le lancement du service d'authentification mobile Alicem, qui permettra de se connecter aux sites des services publics en scannant son visage. Surtout, l'Etat souhaite que les industriels français se présentent comme des leaders mondiaux dans ce secteur amené à prendre de l'ampleur.

La reconnaissance faciale est devenue la norme en Chine. Les citoyens sont surveillés 24h/24 et peuvent être verbalisés au moindre faux pas. Dans un contexte de menace sanitaire et terroriste, la France s'intéresse aussi à ces technologies. Souriez, vous êtes filmés... et identifiés !

Filer vers l’horizon sur un interminable ruban de bitume : contrairement à ce que laisse croire cette image romantique de la route américaine, peu d’activités sont aussi contrôlées que la conduite. Aujourd’hui, nombre de citoyens contestent le recours aux caméras de surveillance routière ; ils estiment pouvoir mieux s’en tirer face à des agents en chair et en os. Mais cette indulgence n’est pas garantie à tous…

Les cambrioleurs n'ont qu'à bien se tenir. Pour quelques centaines d'euros, il est facile de guetter les tentatives d'intrusion.

Comme tous les distributeurs, l’enseigne est confrontée au problème des produits manquants dans ses linéaires. Les équipes ont pris le problème à bras-le-corps via un dispositif innovant, élaboré avec SES-Imagotag, permettant d’optimiser la gestion des stocks. Détails. Pas de chiffres.