Burton, Tim (1958-....)
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Bulletin : Studio magazine 120 - mars 1997
Tous aux abris ! La dernière folie de Tim Burton, "Mars Attacks !", débarque enfin en France. Injustement boudée par le public américain, cette fresque délirante et allumée, cette comédie kitsch et moderne est un spectacle hilarant. Et bien plus encore.
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La dernière folie de Tim Burton
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Bulletin : Studio magazine 99 - mai 1995
Quand un réalisateur génial, Tim Burton ("Batman", "Edward aux mains d'argent"), signe la biographie du "plus mauvais réalisateur du monde", ça donne le brillant "Ed Wood". Avec Johnny Depp et Martin Landau.
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Bulletin : Studio magazine 101 - juillet 1995
Il est l'un des cinéastes les plus singuliers d'Hollywood. Tim Burton, le réalisateur de "Batman", "Edward aux mains d'argent" et "Ed Wood" à l'affiche actuellement, nous a révélé ses sources d'inspiration. Bizarre, bizarre.
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Bulletin : Studio magazine 170 - septembre 2001
Burton réussit un film spectaculaire mais moins personnel que ses précédents.
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Numéros de page :
/ p. 12
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l'album photo
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Bulletin : Studio magazine 170 - septembre 2001
Premier événement de la rentrée, le film de Tim Burton nous fait vivre un voyage fantastique dans le temps et l'espace.
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Numéros de page :
/ p. 66-76
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Bulletin : Le Nouvel observateur 01839 - février 2000
Il est à Hollywood un des rares cinéastes qui concilient talent, ambition, originalité et succès.
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Hansen-Love, Igor Auteur du texte
Bulletin : Studio ciné live 83 - octobre 2016
Date parution pério
2016-10-01
Avec l'excellent "Miss Peregrine et les enfants particuliers", le réalisateur signe un grand film en renouant avec ses thèmes fétiches : l'enfance, la monstruosité, l'imaginaire... Il n'en a pas marre, Tim Burton ?
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Numéros de page :
6 p. / p. 46-51
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Auteurs
Forestier, François Auteur du texte
Bulletin : <>Obs 2708 - septembre 2016
Date parution pério
2016-09-29
A 58 ans, le réalisateur excentrique de "Charlie et la Chocolaterie" aime toujours les créatures étranges, et se demande si son surréalisme n'a pas contaminé l'Amérique de Trump. Entretien.
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Numéros de page :
4 p. / p. 87-90
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Auteurs
Bassan, Raphaël Auteur du texte
Bulletin : Europe 1032 - avril 2015
Date parution pério
2015-04-01
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A propos de ″Dark Shadows″ de Tim Burton
Auteurs
Angiboust, Sylvain Auteur du texte
Bulletin : <>Avant-scène cinéma 593 - mai 2012
Date parution pério
2012-05-01
Enterré vivant en 1772, le vampire Barnabas Collins sort de son cercueil en 1972 et fait la rencontre de ses descendants. On peut comparer ce long sommeil forcé à la carrière récente de Tim Burton : durant dix ans, le poète du macabre a, comme dans un mauvais rêve, accumulé avec succès les oeuvres superficielles, fables conformistes (″Big Fish″, ″Les Noces Funèbres″) et adaptations littéraires terriblement inférieures à leurs modèles (″La Planète des singes″, ″Charlie et la chocolaterie″, ″Sweeney Todd″, ″Alice au pays des merveilles″).
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burton -- "Miss Peregrine et les enfants particuliers"
Auteurs
Gutman, Pierre-Simon Auteur du texte
Bulletin : <>Avant-scène cinéma 636 - octobre 2016
Date parution pério
2016-10-01
L'année dernière, l'exposition Tim Burton organisée à la Cinémathèque française a officialisé l'entrée du cinéaste dans le panthéon des grands auteurs contemporains, rejoignant les autres récents sujets d'exposition Scorcese, Kubrick, Van Sant ou Antonioni. Une bien belle reconnaissance pour un cinéaste qui, contrairement aux maîtres cités, ne peut se targuer d'aucune récompense de poids dans un festival international, et a surgi en filmant "Batman", premier d'une série et d'un phénomène culturel et cinématographique dont nous apprécions aujourd'hui pleinement les conséquences.
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Numéros de page :
4 p. / p. 122-125
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Auteurs
Logette, Lucien Auteur du texte
Bulletin : <>Quinzaine littéraire 1014 - mai 2010
Date parution pério
2010-05-01
Why is a raven like a writing-desk ? Pourquoi un corbeau ressemble à un bureau ? Le Chapelier fou pose plusieurs fois la question à Alice, au long du film de Tim Burton, sans qu'une réponse soit donnée - pas plus d'ailleurs que dans le livre de Lewis Carroll, puisque celui-ci n'en donnera la solution que dans sa préface à la réédition de 1897. C'est l'un des rares moments où le film nous rappelle que Alice in Wonderland est avant tout une oeuvre de langage, non réductible à ses actions. Burton nous en propose une version échevelée, personnelle, certes, mais dont on risque de sortir essoufflé.