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Drive (commerce électronique)

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Auteurs
Pour limiter l'impact du confinement du printemps 2020, en pleine pandémie de Covid-19, l'enseigne d'électroménager, de matériel audiovisuel et d'informatique Boulanger, a mis en place dans l'urgence un service de drive. Depuis le mois de novembre 2020, un test professionnalisant la pratique a lieu dans le Nord, à Englos. Visite. Quelques données chiffrées.
Numéros de page :
pp.22-23

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Malgré la crise de Covid-19, le groupement français de distribution Les Mousquetaires a connu une croissance de 2,3 % en 2020, soit 0,2 pt de plus qu'en 2019. Son CA s'affiche désormais à 46,3 milliards d'euros. Ses enseignes alimentaires, Intermarché et Netto, progressent de 1,4 % et 7,3 %. Ses magasins de bricolage (Bricomarché, Brico Cash, Bricorama) ont également profité de l'engouement des Français pour l'aménagement de leur intérieur.
Numéros de page :
pp.8-12

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La crise de Covid-19 a évidemment été le principal sujet de discussion du Retail's Big Show 2021, qui a réuni les grands distributeurs américains en début d'année. Chacun est revenu sur la stratégie d'adaptation mise en place, l'accélération sur l'e-commerce et l'avènement du multicanal via le drive ou le click & collect. Focus rapide sur 4 tendances mondiales de cette année, 4 stratégies exemplaires déployées (Lululemon, Walmart, Bed Bath & Beyond, Burberry) et 4 technologies à suivre. Détails. Pas de chiffres.
Numéros de page :
pp.20-22

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Les ventes du drive ont bondi en 2020, profitant de la crise sanitaire et des confinements liés au Covid-19. Les grandes surfaces alimentaires ont en effet connu une hausse de 46,5% de leurs ventes en ligne (drive et livraison à domicile), atteignant 9,8 milliards d'euros (tous produits) dont 9,1 mds EUR en drive. Leclerc se positionne en tête en termes de CA, avec 4550 millions d'euros réalisés en drive, soit une croissance de 42%. Carrefour, en deuxième position mais loin derrière, ne génère "que" 1150 M EUR (+50%). En nombre de drives, Intermarché se classe en première place.
Numéros de page :
pp.14-16

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Bulletin : LSA 2650
Le drive a pris une nouvelle dimension avec la crise de Covid-19, avec des ventes en hausse de 42 % sur l'année 2020. Pour les grandes surfaces françaises, il a permis de compenser le recul des venues en magasin en raison de la crise sanitaire, mais également de conquérir de nouveaux clients et de fidéliser les anciens. Cependant, le drive reste une activité encore peu rentable pour les distributeurs. Il demande de forts investissements logistiques et de personnel.
Numéros de page :
pp.47-52, 54-56, 58-61

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Bulletin : LSA 2651
Le développement du e-commerce alimentaire a poussé le groupe de grande distribution français Carrefour à investir dans des sites de préparation mutualisés pour le drive. A Plessis-Pâté, en Essonne, un immense entrepôt de 24 000 m2 s'appuie sur un processus fortement automatisé, via 225 robots du français Exotec. Visite. Pas de chiffres.
Numéros de page :
pp.20-21

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Bulletin : LSA 2671
Le format drive, déployé au nombre de 4000 unités en France, continue de se développer en France ainsi que ses métiers. Les personnes qui y travaillent y occupent des postes physiques et exigeants avec des compétences spécifiques pour certains. Explications et détails sous la forme d'un court dossier. Sommaire. Accompagner la montée en puissance du circuit. Préparateur/préparatrice de commandes : le nerf de la guerre. Manager : un rôle de chef d'orchestre. Responsable du drive piéton : au contact du client. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.63-70, 72

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Bulletin : 01net 961
Les confinements successifs de ces derniers mois ont fait exploser la vente en ligne de produits alimentaires. Et ont mis au jour de nouvelles habitudes de consommation.
Numéros de page :
pp.42-47

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Bulletin : LSA 2698
L'épidémie de covid-19 a largement contribué au développement du drive en France, avec des ventes en hausse de 50% sur ce canal en 2020 et atteignant presque la barre symbolique des 10 milliards d'euros. La croissance s'est également poursuivie en 2021 (+4,1% en volume et +4,9% en valeur par rapport à l'année 2020 exceptionnelle). Cette dynamique amène se poser la question du développement de ce canal de vente au-delà des courses alimentaires. Pendant les confinements des enseignes non-alimentaires se sont aussi essayées au service de retrait des commandes en ligne.
Numéros de page :
pp.35-42, 44

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Bulletin : LSA 2719
Le drive a gagné des consommateurs à la faveur du Covid. L'enjeu principal de ce canal aujourd'hui est d'augmenter la part des achats non prémédités, dans le but de faire grossir le panier moyen des clients et ainsi d’amortir ainsi ses coûts. Une stratégie qui passe par l'optimisation du merchandising de ces sites internet. Sommaire. Comment améliorer le merchandising en ligne. Les sites fondent pour la logique de courses par recette. Stéphanie Lafontaine et Nicolas Damas, d’Accenture Song : "L'objectif de l'e-merchandising est de changer le comportement des consommateurs". Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.73-76, 78-81

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Le distributeur E.Leclerc a installé son premier Relais à Paris en janvier 2019. Ces points de vente sont en fait des drives piétons, où les clients viennent retirer leurs courses commandées en ligne. Pour E.Leclerc, il s'agit d'un deuxième pas d'implantation en région parisienne, après avoir lancé son service de livraison à domicile en 2018. Avec ses Relais, le groupe poursuit son expansion dans la capitale, en se positionnant de plus sur un segment en pleine expansion, celui du drive et de la clientèle urbaine.
Numéros de page :
pp.22-23

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En France, les drives piétons des enseignes de la grande distribution (plus de 60 en France) se transforment progressivement. Vitrine soignée, aménagement des comptoirs, solutions pour réduire l'encombrement, mise à disposition de trolleys pour les clients... Tour d'horizon des équipements clés et bonnes pratiques des enseignes. Pas de chiffres.
Numéros de page :
pp.30, 32