Nancy a accueilli du 19 au 21 mai 2006 le rendez-vous annuel de l'information scientifique et technique. L'occasion rêvée pour s'enrichir avec de multiples expériences en matière d'archives et de veille.

Mettre en place une solution de Ged et remplacer trois postes de traitement manuel des factures par un seul et le calcul du retour sur investissement coule de source.

La veille est en passe d'acquérir ses lettres de noblesse. Mais peu d'entreprises sont en mesure de s'en charger elles-mêmes. Elles font alors appel à des courtiers en veille.

La visualisation de l'information est en passe de s'imposer dans les logiciels dédiés à la veille. De plus en plus adoptée par les utilisateurs, la cartographie relationnelle permet de repérer les liens entre personnalités, entreprises ou marques.

Depuis plusieurs années déjà, les régions françaises se convertissent à l'intelligence territoriale.

Longtemps indépendants, les services de documentation s'intègrent avec plus ou moins de bonheur dans les systèmes d'information en général et avec la gestion de contenu en particulier. Un interfaçage nécessaire mais qui se fait rarement de façon fluide. Les premiers projets apparaissent

La prise en charge d'un réseau de veille tient au respect de nombreux aspects organisationnels, sociaux et humains.

Point, en juin 2011, sur l'importance de la veille dans les secteurs de la banque et de la finance, poussant les grands établissements français à disposer de cellules chargées de détecter tendances lourdes et signaux faibles, en matière de concurrence, de marchés émergents, et de réseaux sociaux. Explications, et illustration à travers des exemples de stratégies déployées quelques établissements français. Pas de chiffres. Court entretien avec Séverine Guillemard, animatrice de la cellule veille au sein du pôle études économiques groupe de Crédit Agricole.

Point, en 2011, sur la surveillance des médias sociaux par les entreprises françaises, qui sont de plus en plus nombreuses à s'équiper d'outils de veille spécifiques. Objectif : repérer et analyser les messages les concernant sur les réseaux sociaux afin de protéger leur réputation en ligne. Les volumes d'information à traiter avec l'explosion des réseaux sociaux sont devenus considérables. Pour répondre à la demande, le marché propose une offre pléthorique d'outils de veille et d'analyse. Malgré tout, le traitement humain de l'information reste capital.

Analyse, en avril 2012, de l'importance pour les entreprises françaises de soigner leur réputation sur Internet (e-réputation), et du développement croissant de certaines pratiques en la matière : renforcer les éléments positifs, étouffer, voire gommer les éléments négatifs, anticiper. Des pratiques qui s'appuient désormais sur des méthodes, des outils, des compétences, afin de promouvoir sa notoriété sur la Toile et placer l'internaute au coeur de la démarche.

Mise en place, au printemps 2012, par le spécialiste français de la robinetterie Hammel (présent sur le marché de la plomberie, du chauffage et du sanitaire), d'un dispositif de veille et de capitalisation de l'information. Objectif : acquérir une vue stratégique sur un marché qui suit la voie de la mondialisation. Le groupe Hammel a fait appel à la société Citadelle, spécialisée dans la sécurité économique, pour le déploiement de sa solution.