Tandis que la population manifeste pour chasser la classe politique corrompue, les partis ravivent les tensions religieuses.

Malgré la crise, Alassane Ouattara ne briguera pas un troisième mandat présidentiel. Un exemple de transition démocratique... non dénué d'arrière-pensées. Après la banqueroute financière, le Liban fait face au coronavirus. De quoi le pousser un peu plus vers le précipice. Sommaire. Cote d'Ivoire. Le vrai faux départ du "vieux sage". Liban. La catastrophe par-dessus la crise.

La révolution d'octobre avait suscité l'espoir des Libanais. Quatre mois plus tard, étranglés par une crise économique sans précédent, ils déchantent.

Le conflit ouvert entre Asma, l’épouse du président syrien, et les cousins de ce dernier a mis au grand jour le système mafieux que cette famille a instauré dans le pays.

Le dictateur Bachar el-Assad a gagné la guerre... au prix de sa souveraineté. Vladimir Poutine veut lui faire payer son soutien au prix fort.

L'explosion qui a ravagé une grande partie de la capitale achève de ruiner un pays qui s'enfonçait depuis des mois dans une terrible crise. La population peine à garder l'espoir.

Emmanuel Macron a nommé l'ex-ministre des Affaires étrangères comme médiateur au pays du Cèdre, qui ne parvient pas à se doter d'un chef.

Depuis son arrivée fracassante au pays du Cèdre fin 2020, l’ancien patron de Renault-Nissan coule des jours paisibles, loin des tracas judiciaires.

Depuis la chute du système bancaire en 2020, les transactions en liquide submergent le Liban, au risque d'en faire un paradis du blanchiment.

Alors que l'Etat hébreu s'apprête à forer dans une zone gazière disputée, le Liban s'active pour revendiquer (une partie) de ses droits.

Acquéreur en série, l'armateur marseillais est parvenu au sommet du capitalisme français. Au point de dépasser les profits de Total ou de LVMH. L'article se poursuit par un focus intitulé "A Beyrouth, l'aura d'un « bienfaiteur »".

Le parti religieux propose une scolarité quasi militaire à des écoliers libanais qui y apprennent l'adoration de l'Iran et la détestation d'Israël.

Plus de deux mois après le début du bras de fer entre Riyad et Doha, aucune sortie de crise ne semble se dessiner. Interview de Bernard Haykel, professeur à l’université de Princeton et spécialiste du royaume wahhabite.

L’arrivée dans les régions chrétiennes et sunnites de plus de 1 million de Libanais majoritairement chiites, qui fuient les bombardements israéliens contre le Hezbollah, commence à créer des tensions communautaires.