Le Salon de l'Auto paraît immuable, mais la distribution change. Les concessions, toujours moins nombreuses, sont de plus en plus souvent rachetées par de grands groupes. Le rôle des vendeurs en est profondément modifié.

Pas simple d'être constructeur automobile aujourd'hui. Il faut tout à la fois gagner la course à la voiture électrique, rester compétitif, s'adapter aux législations et, cerise sur le gâteau, gérer la crise sanitaire. Seuls les plus forts survivront, avertit le patron de PSA...

Après plus d'un an de poursuites judiciaires, l'ancien patron de Renault-Nissan a fui le Japon pour le Liban

Le groupe franco-japonais pourrait élargir son alliance au constructeur allemand. Pour l'heure, les trois discutent coopération industrielle et technologique.

Pour avoir les mains dans le cambouis, ou concevoir la future voiture propre

Données chiffrées rapidement commentées sur le recul des marques françaises d'automobiles en France et dans le monde début 2014. Le marché intérieur continue de fléchir avec 1,8 millions de véhicules neufs vendus en 2013 contre 2,1 M en 2008. Les stratégies à l'international ne sont pas assez payantes. Le positionnement en milieu de gamme est un frein, tant les demandes premium et low-cost progressent. La seule opportunité des constructeurs français : réussir la transition écologique des véhicules.

L'arrière-petit-fils d'Henry Ford explique pourquoi nous ne sommes pas encore mûrs pour le monde post-voiture.

L'arrière-petit-fils d'Henry Ford explique pourquoi nous ne sommes pas encore mûrs pour le monde post-voiture.

Alors que le nombre de ménages chinois possédant une voiture explose, les villes proposent une variété croissante de modes de transport pour éviter l'asphyxie.

Poursuite du démantèlement de la filière automobile française, malgré la reprise européenne du marché et de meilleurs résultats pour les constructeurs hexagonaux Renault (+48% de résultat net en 2015) et PSA Peugeot Citroën (+8% de CA en France, la même année). En réalité, la filière française souffre d'un mal structurel dû au choix des constructeurs, au début des années 1990, d'orienter leur production vers les véhicules d'entrée de gamme pour fournir le marché français et les pays de l'Europe du sud.