Le 10 avril 2022, le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, est démis de ses fonctions après une ultime motion de censure du Parlement et plusieurs semaines de troubles politiques. Son successeur, Shehbaz Sharif, héritier d'une grande famille dynastique, doit gérer un gouvernement de coalition faible dans une situation économique turbulente, tout en devant organiser des élections législatives avant le 12 octobre 2023.

Depuis que son mari a quitté le pouvoir en 2019, l'ex-première dame est sortie de l'ombre et joue de son influence, notamment en province, pour critiquer Félix Tshisekedi. Portrait d'une femme d'affaires devenue très "politique".

Est-ce le début de la fin pour Poutine – du moins, de la fin de son règne ? L’idée a commencé de germer depuis que l’armée ukrainienne, mieux organisée et beaucoup plus motivée, a lancé et conclu avec succès sa contre offensive. Elle a par endroits débordé l’armée russe jusqu’à la débandade et obligé le maître du Kremlin à décréter, contre son gré, une mobilisation de 300 000 recrues supplémentaires mal perçue en Russie. Comment le « nouveau tsar », qui souffle ses 70 bougies le 7 octobre 2022, a-t-il abouti à un tel échec ?

Porté au pouvoir par l’armée et très critiqué, le Premier ministre a été démis de ses fonctions. Mais Imran Khan compte bien user de son pouvoir de nuisance, avertit cet hebdomadaire pakistanais.

Pour cette chroniqueuse, la haine et la rancoeur enfouies depuis les années 1990 à l’égard des gagnants et des profiteurs de la transition vers le capitalisme se libèrent aujourd’hui. Tant mieux si ces élites libérales se résignent à fuir le pays, dit-elle.

Du président aux membres du Congrès, en passant par les dirigeants d’entreprise, jamais le pays n’a été dirigé par des élites aussi âgées. Un “tsunami argenté” qui ne laisse guère de place à la jeune génération.

Pour convaincre l'opinion publique ou un ministre, rien de tel qu'un document confidentiel des services de renseignement.

Les Etats-Unis et l'Union européenne ont pris des mesures drastiques A rencontre de dix-sept personnalltés proches du pouvoir afin de contraindre le président à organiser des élections. Face à la menace, Kinshasa appelle les Africains à la solidarité. Inclus dans l'article, une interview de l'opposant Samy Badibanga.

Du fondateur de "L'Express", Jean-Jacques Servan-Schreiber, au président Emmanuel Macron, passage en revue de ceux qui ont porté le flambeau de la réforme sous la Ve République.

Contesté dans sa légitimité, le chef de l'Etat resserre les rangs. Il compte plus que jamais sur les hommes qu'il a placés à la tête de son dispositif sécuritaire. Des militaires pour la plupart, aussi expérimentés que controversés.