Le cadeau d'affaires obéit à des règles spécifiques en France, qu'il est important que les entreprises connaissent. Les produits gastronomiques et gourmands, ainsi que les vins, champagnes et spiritueux, cadeaux les plus privilégiés par les sociétés hexagonales, ne s'offrent pas sans réfléchir. Ainsi, si le coût du cadeau est inférieur à 69 euros par an et par bénéficiaire, l'entreprise pourra récupérer la TVA imposée dessus.

CRRC, le leader mondial du ferroviaire, a repris une marque automobile française centenaire, Clément Bayard. Sans l'accord de la famille...

Architecte du spectaculaire redressement de l'établissement helvétique, l'as de la finance a pourtant été poussé à la démission à la suite, entre autres, d'une rocambolesque affaire d'espionnage. Un nouveau chapitre s'ouvre pour le Franco-Ivoirien.

Empêtrée dans un scandale financier, la star allemande du paiement en ligne ne vaut désormais plus rien. Un krach retentissant, qui pourrait aboutir à une plus grande régulation du secteur des fintech.

Ingénieur informaticien chez HSBC, Hervé Falciani a décidé de révéler les malversations de la cinquième banque mondiale à la justice de différents pays. Une bombe.

L'aide massive mise en place par l'Etat a-t elle généré des abus Pour l' administration, l'heure des contrôles a sonné.

En près de quarante ans, l'homme d'affaires breton a construit pierre après pierre un véritable empire. Des combats rudes, souvent, des coups tordus, parfois. Jusqu'à la dernière bagarre pour rafler le groupe Lagardère.

Télé, frigo, aspirateur... Vous pensiez pouvoir vous fier à leurs étiquettes ? Pas du tout ! Après les voitures diesel, les ONG pointent l'électroménager : des protocoles opaques, voire des logiciels truqueurs permettraient aux fabricants de décrocher labels NF ou CE en sous-estimant leur consommation. Un système qui dissimule des milliards de kilowatts. Plongée dans le maquis des bancs d'essai.

Les places en crèche sont détenues à 20 % par des acteurs privés. Les dessous de leur succès posent de sérieuses questions.

Depuis plusieurs années, le secteur français des mutuelles, qui représente 38 milliards d'euros de cotisation, est régulièrement remis en question. Son modèle de base, centré sur la solidarité entre les adhérents, a été bousculé par la concurrence des assureurs privés et l'ouverture des marchés. Des pratiques de plus en plus douteuses, comme l'augmentation des tarifs ou la rétribution très généreuse des dirigeants, ne sont plus rares.

L'attention des syndicats américains était tournée vers l'Alabama au printemps 2021, où une élection avait lieu dans un entrepôt du géant de la vente en ligne Amazon pour décider ou non de la création d'une section syndicale. Le résultat a finalement été sans appel : 738 "oui", 1798 "non", et un projet qui s'arrête donc là, malgré le soutien de nombreuses personnalités politiques et publiques envers cette initiative.