Dans son fief de Benghazi débarrassé, assure-t-il, des dernières poches de résistance, le maréchal libyen a reçu "Jeune Afrique". Celui qui ambitionne de réunifier sous sa houlette - et au besoin par la force - ce pays déchiré fait le point sur ses alliés, ses ennemis et les tentatives de médiation internationales. Avec l'assurance de l'homme providentiel qu'il est persuadé d'incarner.

Alors qu'une offensive est menée à Aden pour renverser le président Hadi, le site américain "The Hill" revient sur les enjeux de la guerre dans ce pays pauvre du golfe Persique.

Les bombardements turcs et le silence du monde sur cette nouvelle guerre n'entament pas la volonté des Kurdes en Syrie de lutter jusqu'au dernier combattant. En complément, l'article "Ecrasons ce terrorisme".

Alors que la Turquie a lancé une offensive militaire contre les Kurdes d'Afrin, l'essayiste Patrice Franceschi, auteur de "Mourir pour Kobané", fait le point sur le rapport de force sur le terrain.

Du fait de sa grande complexité, le conflit au Yémen est mal connu. Pour s'y repérer, il faut revenir un peu sur l'histoire d'un pays marqué par une composition plurielle et passer en revue les diverses instances impliquées dans la guerre, tant internes qu'externes. Les pays occidentaux sont indirectement concernés, ne serait-ce que par les questions djihadistes et migratoires. La pacification du Yémen est donc un enjeu important et urgent.

Le nouveau président de la Corée du Sud aimerait renouer avec son voisin du Nord, quoi qu'en dise Donald Trump.

La France a ouvert un bureau à Niamey pour y étudier les demandes de ceux qui sont prêts à risquer leur vie pour rejoindre l'Europe. Un reporter du "New York Times" s'est rendu sur place.

Au lendemain d'un grave incident naval avec la Russie, l'Ukraine a voté la loi martiale. Une manoeuvre politique, juge le "Oukraïnska Pravda".

Le gouvernement affirme qu'en dépit de la loi imposée depuis le 26 novembre 2018, les droits et les libertés des citoyens ne seront pas limités. Faux, réplique cet éditorialiste de Kiev.

En annonçant le retrait américain de la Syrie, Trump semble abandonner le terrain au profit de Téhéran, mais il compte sur son allié israélien et sur les sanctions économiques pour affaiblir Assad et la République islamique.