La British Library a récemment publié un document à vision stratégique, intitulé "Living Knowledge", confirmant que cette mission de conservation est la mission première et fondamentale de la Bibliothèque, celle sur laquelle reposent toutes les autres missions. Cette stratégie a également mis en évidence la nécessité pour la Bibliothèque de prendre en considération les défis posés par la conservation à long terme des contenus numériques. Cet article explore quelques-unes des activités entreprises par l'équipe de la Bibliothèque chargée de la préservation digitale.

Face à l'explosion du volume d'informations disponibles et la multitude d'applications permettant de produire, partager et diffuser ces informations, les organisations commencent à s'intéresser à un nouveau concept, celui de l'exploitabilité. Il s'agit en effet de rendre les informations et les connaissances accessibles, de qualité et sécurisées pour l'ensemble des collaborateurs.

Tous les analystes sont d'accord sur ce point. Pour la gestion documentaire, les grandes entreprises ont tendance à privilégier des solutions répondant à des besoins transverses à toute l'organisation et pas destinées aux seuls services documentaires. Où l'on s'oriente vers la gestion de contenu.

Démarche globale de rationnalisation du stockage de l'information, l'ILM est pour certains un simple argument marketing alors qu'il constitue pour d'autres la panacée en matière de gestion documentaire.

Du records manager au service qualité, un nombre croissant de responsables dans l'entreprise doit disposer d'un outil de suivi du cycle de vie documentaire.

Youtube ou Dailymotion obligent, les fonds audiovisuels numérisés se banalisent. Ils deviennent tout naturellement un nouvel objet documentaire à indexer et à archiver. Si les effets secondaires de cette vague de fond sont multiples, ils ne sont pas tous positifs.

La démarche normative en infodoc est l'objet de multiples enjeux à l'heure actuelle. Trop chères, soumises aux intérêts du business, concurrencées par le foisonnement des formats, les normes sont attaquées de toute part. Dans cette guerre des standards qui - semble-t-il - fait rage, Archimag vous apporte les nouvelles du front.

Les plans de classement sont à la base d'une bonne gestion de la politique documentaire, que les documents soient gérés dans un environnement Windows ou au moyen d'une solution de gestion de documents et de dématérialisation des processus.

Décryptage, en mars 2011, des attentes des documentalistes français en matière de gouvernance documentaire. Alors que le coût de la gestion documentaire est estimé entre 1 et 3 % du chiffre d'affaires des entreprises, de plus en plus de professionnels de l'information militent pour la création du métier de ″document and information manager″ capable de mener une stratégie globale de l'information. Un poste qui pourrait donner lieu à des gains en matière de sécurité et d'intégrité du patrimoine informationnel de l'entreprise.

La production d'information se double d'une production de métadonnées techniques et descriptives. Elles revêtent une importance particulière dans un contexte de records management, mais leur application est délicate.

Dossier consacré, en 2014, à l'archivage hybride des documents, à la fois sous la forme papier et numérique, qui demande une bonne organisation pour les organisations privées ou publiques. Certaines contraintes doivent être respectées, et la sécurité, l'hébergement des données et leur réversibilité doivent être considérés en priorité.