Fin août 1914 l'Œuvre de secours pour les victimes de la Guerre en Belgique est amorcée par plusieurs canadiens. Elle va connaître un engouement rapide tant auprès des élites que de la population canadienne en général

Le 22 décembre 1917, le Conseil de Flandre, le parlement "activiste" proclama l'"autonomie" flamande. Cet article souligne la partie déterminante de la Flamenpolitik allemande dans la radicalisation de l'activisme.

Leur absence n'aurait pas changé l'issue du conflit, mais elle aurait compliqué la tâche des Alliés. Et, sans doute, eu des conséquences sur l'après-guerre...

On est frappé, à relire les numéros de notre revue depuis quarante ans, de voir à quel point l'histoire est vivante. Elle accompagne les turbulences du monde, les découvertes de la science, les tragédies ou les interrogations sur l'identité. Elle s'attaque, inlassable, aux massifs d'archives abandonnés par les dictatures en déroute, pour y trouver des réponses aux questions laissées béantes, aux drames inexpliqués, aux aveuglements devenus incompréhensibles.

Novembre 1918. Les combats cessent sur le front occidental. Hommes et femmes n'en ont pourtant pas fini avec la guerre qui a bouleversé, pour longtemps, leur univers, en même temps qu'elle les a transformés.

Les traités de paix ont consacré le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, soulevant un énorme espoir dans les colonies. Un espoir bien vite retombé.

La Grande Guerre, dont on célèbre en novembre 2018 le centenaire de l'armistice, a laissé dans son sillage des millions de morts. Mais elle a aussi vu naître des inventions qui ont changé nos vies et révolutionné la médecine, la géologie, la chimie ou les communications.

Et si les Allemands avaient gagné la bataille de la Marne et remporté la Première Guerre mondiale ? C'est avec réjouissance et sérieux que sept historiens et cinq romanciers se sont livrés à l'exercice de l'uchronie.

Bien au-delà des traités réorganisant les frontières de l’Europe, la conférence de la paix à Paris, il y a cent ans, souleva des problèmes qui sont encore les nôtres.

Le 11 novembre 1920 la dépouille du « soldat inconnu » est transférée à l’Arc de triomphe. En chemin, le cortège s’est arrêté pour rendre hommage au tribun de la République.