Présentation du travail d'une équipe d'enseignants et d'inspecteurs, au sein de l'association Mémoires à l'oeuvre, sur l'enseignement de la Shoah et des grandes violences de l'Histoire par le témoignage et les textes littéraires, pour laisser place à la fois à l'expression des émotions et à la réflexion.

Il y a cent cinquante ans, Napoléon III inaugurait, au château de Saint-Germain-en- Laye, un musée d'Archéologie nationale, surtout consacré aux Gaulois. Jusqu'à Astérix, les Français n'auraient pas d'autres ancêtres. Or, historiens et archéologues ont désormais mis au jour une civilisation élaborée, avec des Etats, une science, un art. Notre dossier propose de mettre de côté les débats identitaires pour plonger, avec un oeil neuf, dans cinq siècles d'histoire gauloise. Sommaire. « Des sociétés prospères et raffinées », entretien avec Laurent Olivier.

L'historien, auteur du best-seller mondial "Sapiens", publie "Nous, les indomptables". Pour "L'Express", il explique comment il faudrait enseigner l'histoire aux plus jeunes.

Quatre ans après la mort de Samuel Paty, les enseignants ont-ils encore le courage de présenter des caricatures liées à l'islam à leurs élèves ? "Marianne" donne la parole aux principaux concernés, les professeurs d'histoire-géographie, qui sont tiraillés entre autocensure, appréhension et affirmation de la liberté d'expression. Sommaire. Les caricatures de Mahomet sont-elles encore montrées en classe ? "Ce sera le procès des procès en islamophobie".

Chaque trimestre, "l'éléphant" vous présente les travaux d'un chercheur ou d'une chercheuse du Collège de France. Rencontre avec Henry Laurens, spécialiste du Proche et du Moyen-Orient.

Le récent ouvrage dirigé par Patrick Boucheron "Histoire mondiale de la France" – dans lequel l’auteur dénonce le « légendaire national » – fait controverse. Les historiens Jean-Pierre Rioux et Sanjay Subrahmanyam reviennent sur cette virulente polémique…

Les Français aiment l’Histoire, notre sondage le prouve. Il révèle également des informations inquiétantes – comme l’oubli massif des savoirs –, mais aussi de bonnes raisons de ne pas désespérer !