En quête d'un refuge amoureux ou d'une aventure d'un soir, les jeunes se retrouvent de plus en plus à l'hôtel. Pour cette génération, s'offrir une chambre n'a rien de honteux. C'est juste le moyen de vivre sa sexualité en toute intimité, loin des colocataires ou des parents.

Rien de plus efficace pour se faire de la publicité à peu de frais que d'attirer des célébrités. Certains établissements l'ont bien compris.

Lumière, en janvier 2011, sur la création par Bernard Arnault (dirigeant du groupe de luxe français LVMH) d'une marque de luxe autour du prestigieux cru de Saint-Emillion, Cheval Blanc pour porter ses développements dans l'hôtellerie de luxe. Explications sur le choix de cette appellation et les ambitieux projets. L'objectif des hôtels Cheval Blanc : concevoir des écrins de luxe pour mettre en valeur les maisons du groupe LVMH.

En 1598, les archiducs Albert et Isabelle arrivent à Bruxelles pour y gouverner les Pays-Bas méridionaux. C'est dans le vaste palais du Coudenberg, construit pour le duc Philippe le Bon, que le couple de gouverneurs s'installe avec sa nombreuse cour. La ville compte déjà plusieurs demeures appartenant à des grandes familles nobles du XVIè siècle. On pourrait croire, dès lors, que cette arrivée ne change pas les habitudes de cette noblesse.

Une nuit derrière les barreaux, dans un égout ou perché sur une grue ? Partout dans le monde, les chambres de l'extrême se multiplient. Réservation obligatoire.

Une poignée d'acteurs de niche parviennent à dépoussièrer l'image des hôtels en Europe. Le cocktail gagnant ? Des nouvelles technologies en accès libre, des tarifs abordables et un design attrayant.