Le trafic de marchandises va doubler, mais les financements privés dans les infrastructures tardent encore, explique Maïdadi Sahabana, directeur transport du cabinet Louis Berger. Sommaire. «Les risques pays sont trop grands pour les investisseurs». Sitarail relancée pour doper la production de minerais. Autoroutes du Maroc amorce son chantier de désendettement.

Réputée pour son excellence industrielle et sa capacité à innover, l'Allemagne n'entend plus jouer les seconds rôles sur le continent. Si la volonté politique est réelle, la frilosité des entreprises de la quatrième puissance mondiale limite encore cette ambition.

L'économie mondiale a plutôt bien résisté à la crise que tout le monde prédisait en 2021, après une année 2020 calamiteuse marquée par la crise de Covid-19. Cependant, les pays en développement et émergents affichent un bilan plus contrasté puisqu'ils n'ont généralement pas pu compter sur des aides publiques massives. Les risques à l'export se sont donc accentués sur certains territoires. Etat des lieux.

Le Sahel concentre tous les problèmes du monde : dégradation accélérée des terroirs sur fond de croissance démographique record, insécurité maximale, menaces pour l'environnement régional et mondial. Sa crise nous renvoie aux questions essentielles du développement durable.

Régulièrement, le ministère des Affaires étrangères publie une carte qui, selon l'instabilité politique et les conflits, incite les voyageurs à la prudence. D'autres critères (homicides, mortalité routière, hygiène, catastrophes, etc.) peuvent cependant être pris en compte. C'est ce qu'a fait The Swiftest, site spécialisé dans les assurances, pour établir un palmarès des 50 pays touristiques les plus sûrs.

L'export est une activité qui doit inciter à ne jamais s'endormir sur des certitudes. On pensait avoir tout vu avec la Covid-19, et profiter d'une reprise vigoureuse partout dans le monde. Et voilà que la guerre est revenue en Europe. Crise énergétique, flambée des prix, ralentissement mondial ont stoppé net. la reprise annoncée. « Les tensions géopolitiques, l'inflation persistante et une demande mondiale plus faible devraient affecter négativement le commerce mondial en 2023 », soulignait en décembre la Cnuced dans sa dernière note de conjoncture.