Le succès de la campagne présidentielle de Donald Trump s'est nourri du rejet de l'establishment. Dans son discours de chef du gouvernement, à la conférence du parti conservateur en octobre 2017, Theresa May a condamné les "élites internationales" déracinées. Sur le continent européen, des partis de droite toujours plus populaires comme le Front national de Marine Le Pen, l'Alternative für Deutschland en RFA ou le parti « Droit et justice » en Pologne se plaisent à dénoncer les élites « eurocratiques ». Mais d’où vient le mot « élite » et que veut-il dire ?...

L'essayiste israélien appelle les modérés à se saisir sans attendre des sujets qui font monter le vote populiste.

A l'occasion de la parution de "La cour des miracles" (L'Observatoire), "Le Point" a invité son auteur à débattre avec l'essayiste et écrivain libéral, qui publie "Les aventuriers de la liberté" (Plon).

Pour l'ancien membre du Parlement européen et actuel député Modem, Simone Veil a su rendre le libéralisme attrayant.

Quel rapport entre l’économie planifiée communiste et la faillite du libéralisme financier ?

Sur le sentiment d'impuissance politique et de régression sociale qui fragilise l'équilibre des démocraties, Emmanuel Todd livre un nouvel essai choc, "Où en sommes-nous ?" Rencontre avec un non-conformiste.

Interviews de plusieurs essayistes et économistes libéraux qui, âgés entre 30 et 40 ans, représentent la relève intellectuelle décomplexée française. Ils livrent leurs réflexions et points de vue autour de deux thèmes : la façon dont ils voient la société française - ses blocages et ses déverrouillages -, et les leviers du changement, qu'ils soient politiques ou culturels. Sommaire. Nicolas Bouzou : "La fin du travail est un non-sujet". Gaspard Koenig : "La société civile est la de plus en plus puissante". Robin Rivaton ; "Les Français sont prêts à amender leur modèle, pas à le mettre à bas".

Le balancement entre libéralisme et social-démocratie sera-t-il suffisamment fédérateur pour donner au macronisme son corpus idéologique ?

Ancien libéral et opposant au régime communiste, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán est devenu l'artisan d'un système de plus en plus autoritaire, clientéliste et corrompu. Son discours, nationaliste et anti-européen, lui vaut même quelques sympathies au sein de l'UE.

Le grand défenseur du libéralisme se confie au "Point" sur l'Europe, le nationalisme et Raymond Aron.

Le temps est à la peur, aux replis ? Raison de plus pour réhabiliter le libéralisme, estime André Comte-Sponville.

Chargé du débat d'idées à La République en marche, le député du Val-d'Oise promeut sans complexe des idées libérales qu'il mêle au multiculturalisme "inclusif" venu des Etats-Unis. Au point de semer le trouble sur la ligne politique du parti présidentiel et d'agacer ses collègues.