Ils débarquent dans les start-up comme dans les groupes du CAC 40. Les chief happiness officers sont là pour veiller au bien-être des salariés. Mais que font-ils vraiment ? Portraits.

Adieu les photos de vacances et le bazar sur la table... 9% des salariés français travaillent désormais en "desk sharing" ou en "open desk" (bureaux non attribués). Mais derrière une façade cool, le quotidien l'est-il vraiment ?

Le musée Fabre de Montpellier consacre une rétrospective de plus de cent cinquante oeuvres aux soixante années du parcours artistique de Claude Viallat. Visite, à Nîmes, de l'atelier d'une des plus célèbres figures de l'art contemporain.

Focus sur l'une modes actuelles en matière de management en France, celle véhiculée par les "chief happiness officer", concept importé des Etats-Unis. Concrètement, l'idée est tout simplement d'être "heureux au travail" ; cela prend la forme d'espaces de bien-être dans des locaux réaménagés en salons cosy. Une volonté née du constat suivant, entre autres : les salariés heureux sont deux fois moins malades, six fois moins absents, neuf fois plus loyaux, et 55 % plus créatifs. Des bénéfices gagnants pour les deux parties, employeur comme salarié.

De nombreuses entreprises réexaminent actuellement leurs politiques immobilières et d'aménagement des espaces. L'enjeu, au-delà de l'économie, touche à la stratégie et à la communication d'entreprise.

Les espaces de travail partagés ont le vent en poupe ces derniers mois. Petites et grandes entreprises apprécient la flexibilité de la formule et les employés "millenials" en tête, y voient un environnement de travail stimulant

Réflexions, en août 2014, sur l'image que souhaitent véhiculer les grandes multinationales à travers l'architecture de leurs sièges sociaux partout dans le monde. L'aspect extérieur imposant est favorisé, l'écoconstruction plébiscitée mais l'aménagement intérieur se doit d'être fonctionnel tout en suggérant la disparition du poids hiérarchique.