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Morales, Evo (1959-....)

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Amérique latine a eu son moment de grâce, quand, la page des dictatures militaires et des régimes autoritaires une fois tournée, l’insertion dans la mondialisation paraissait la destiner à un développement économique rapide, en plus de la consolidation démocratique. Or, la voici rattrapée par ses vieux démons sous de nouveaux visages. La Bolivie d’Evo Morales défraie peu la chronique. Elle illustre pourtant au mieux, montre Philippe Boulanger, la façon dont un sursaut populaire salué pour sa promesse démocratique peut se dévoyer en populisme destructeur.
Numéros de page :
pp.32-42

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Candidat à sa réélection, le 20 octobre 2019, le président a été durement critiqué pour sa gestion des incendies. S’il prétend toujours protéger la Terre mère, il a aussi favorisé l’agriculture intensive.
Numéros de page :
p.24

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Le pays reste très divisé à la suite du départ d’Evo Morales. Dans le centre, d’où est originaire l’ex-président en exil, les cultivateurs de coca ont affronté les forces de l’ordre. Neuf personnes ont été tuées. Présence d'un second article intitulé "Le "wiphala" étendard de la crise".
Numéros de page :
pp.16-17

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Date parution pério
2019-09-01
Arrivé au pouvoir en 2006, le président bolivien Evo Morales briguera un quatrième mandat en octobre 2019. Les politiques de redistribution qu’il a mises en oeuvre ont permis l’émergence d’une classe moyenne diverse et parfois très prospère, à l’image des "cholos", les indigènes urbanisés. Moins militantes qu’autrefois, ces franges de la population ne partagent pas forcément les valeurs des dirigeants auxquels elles doivent leur ascension.
Numéros de page :
pp.10-11

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Date parution pério
2020-01-01
La Bolivie est l'un des pays les plus pauvres d'Amérique du Sud, mais il abrite le plus gisement mondial de lithium. Cette matière première connaît une demande en forte hausse puisqu'elle est utilisée dans de nombreux appareils électroniques et technologiques, aussi bien les smartphones que les voitures électriques. Le président bolivien, Evo Morales, voulait ainsi développer une filière nationale qui profiterait au pays et non pas simplement à des entreprises étrangères venues exploiter cette ressource.
Numéros de page :
p.23

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Date parution pério
2020-07-01
Du «Wall Street Journal» aux franges les plus écervelées de la gauche internationale, la quasi-totalité des commentateurs ont défendu l’idée que le président bolivien Evo Morales avait fraudé lors du scrutin présidentiel de novembre 2019. Leur erreur a contribué à priver le chef d’État sortant de sa victoire au premier tour, au profit d’une élite réactionnaire, établie à Santa Cruz. Cette dernière rêve de prendre les rênes du pays, mais ses espoirs devraient être douchés lors du nouveau scrutin, prévu le 6 septembre 2020.
Numéros de page :
pp.4-5

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Date parution pério
2020-10-01
Les Boliviens sont appelés à élire leur président le 18 octobre. Reporté à deux reprises par un pouvoir en difficulté, le scrutin est organisé par un régime issu du renversement de M. Evo Morales, il y a un an. Depuis, les médias privés et une partie de la gauche s’emploient à taire la nature de cette rupture de l’ordre constitutionnel. Jusqu’à un article du "New York Times", en juin dernier...
Numéros de page :
p.9

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Date parution pério
2018-08-01
Alors que les forces conservatrices sont à l’offensive en Amérique du Sud, un pays demeure ancré à gauche : la Bolivie de M. Evo Morales, où la contestation se concentre désormais au sein même du camp politique du chef de l’État, notamment chez les mineurs. L’histoire singulière du parti présidentiel, le Mouvement vers le socialisme, éclaire cette situation étonnante. Présence également d'un article intitulé "D'étranges coopératives de mineurs".
Numéros de page :
pp.6-7