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Bolivie

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Dans l'Amazonie bolivienne, la prolifération du plus grand poisson d'eau douce d'Amérique du Sud, le paiche, a bouleversé l'économie traditionnelle. Au risque de créer de nouveaux déséquilibres.
Numéros de page :
p.23

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Amérique latine a eu son moment de grâce, quand, la page des dictatures militaires et des régimes autoritaires une fois tournée, l’insertion dans la mondialisation paraissait la destiner à un développement économique rapide, en plus de la consolidation démocratique. Or, la voici rattrapée par ses vieux démons sous de nouveaux visages. La Bolivie d’Evo Morales défraie peu la chronique. Elle illustre pourtant au mieux, montre Philippe Boulanger, la façon dont un sursaut populaire salué pour sa promesse démocratique peut se dévoyer en populisme destructeur.
Numéros de page :
pp.32-42

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Elu à la présidence de la Bolivie sur un programme révolutionnaire en 2006, Evo Morales s’est mué en treize ans en autocrate vieillissant qui projette de s’éterniser au pouvoir. Il est le dernier des dirigeants progressistes parvenus au pouvoir dans les années 2000. Il s’appuie sur les forces armées et les syndicats de planteurs de coca pour consolider un régime qui s’apparente à une dictature. Depuis 2014, la Bolivie traverse une crise politique qui pourrait s’accentuer après les élections présidentielles et législatives d’octobre 2019.
Numéros de page :
pp.21-30

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Candidat à sa réélection, le 20 octobre 2019, le président a été durement critiqué pour sa gestion des incendies. S’il prétend toujours protéger la Terre mère, il a aussi favorisé l’agriculture intensive.
Numéros de page :
p.24

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Ulcérés par un nouveau report de la présidentielle, les partisans de l’ex-président Evo Morales, issus des couches modestes, multiplient les blocages routiers. La tension est extrême avec les classes moyennes.
Numéros de page :
p.19

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Le 18 octobre, les Boliviens doivent élire leur nouveau président. Luis Arce, ancien ministre de l’Economie d’Evo Morales et homme mesuré, serait la meilleure option, estime ce politologue bolivien.
Numéros de page :
p.16

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Retour à La Paz, où de jeunes cinéastes affrontent la difficile question de la représentation de soi et de leur pays.
Numéros de page :
pp.67-69

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La civilisation tiwanaku qui a irrigué culturellement toute l'Amérique du Sud reste méconnue. Les principaux monuments de sa capitale gisent aujourd'hui en pièces détachées, mais une technique aussi simple qu'ingénieuse devrait permettre d'en reconstituer une partie.
Numéros de page :
pp.14-17

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En Bolivie, en Nouvelle-Zélande et en Afghanistan, les femmes accèdent plus facilement au pouvoir politique. Mais nombre d'entre elles se heurtent encore à une résistance culturelle et à des violences.
Numéros de page :
pp.82-103

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Avec son nom de rock star et sa façon bien à lui de combattre la neurasthénie, l'architecte bolivien a fait d'El Alto, une des villes les plus hautes au monde, une curiosité architecturale. La fondation Cartier lui ouvre grand ses portes à l'occasion de l'exposition "Géométries Sud, du Mexique à la Terre de Feu".
Numéros de page :
pp.136-141

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Date parution pério
2019-09-01
Arrivé au pouvoir en 2006, le président bolivien Evo Morales briguera un quatrième mandat en octobre 2019. Les politiques de redistribution qu’il a mises en oeuvre ont permis l’émergence d’une classe moyenne diverse et parfois très prospère, à l’image des "cholos", les indigènes urbanisés. Moins militantes qu’autrefois, ces franges de la population ne partagent pas forcément les valeurs des dirigeants auxquels elles doivent leur ascension.
Numéros de page :
pp.10-11

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Date parution pério
2019-12-01
Depuis le mois d’octobre 2019, un soulèvement populaire agite la Bolivie. Révélant la faiblesse de la gauche au pouvoir, il a constitué une aubaine pour les franges les plus extrémistes de la droite, qui ont profité du chaos pour renverser le président Evo Morales. En dépit d’une violente répression, le régime « de facto » ne semble pas parvenir à museler la contestation, tandis que le pays s’enfonce dans la crise.
Numéros de page :
p.9