Avec son éditeur-motard, retour en image sur un fascinant ouvrage documentant l'étrange faune parisienne des années 70, bandes de rockers et aspirants Hells Angels.

L'histoire de trois clubs nés dans les sixties et où les jeunes rockers, enfin, trouvaient refuge.

Les disc-jockeys écrivaient dans "Rock&Folk" : l'évocation de trois lieux où, au tournant des sixties, rockers, minets, néo-mods et hippies se côtoyaient.

En quelques années, le cubisme a tout inventé, tout révolutionné, pavant le chemin pour toutes les avant-gardes. Si Braque et Picasso ont donné l'impulsion initiale, leurs audaces ont trouvé des résonances dans tous les champs de la création, comme le montre la grande rétrospective du Centre Pompidou à Paris.

Sans son atelier berlinois, l'artiste argentin Tomas Saraceno imagine villes-nuages, sculptures flottantes et installations arachnéennes. Cet activiste met en oeuvre ses utopies dans les espaces du Palais de Tokyo, à Paris.

Dispersée après 1858, la collection d'oeuvres d'art de Giampietro Campana (1809-1880) fait l'objet d'une évocation spectaculaire au musée du Louvre avec la collaboration du musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg. Occasion d'évoquer la vie, entre gloire et chute, de l'un des plus grands collectionneurs de tous tes temps.

Pas moins de sept sites sont investis cette année par la Fiac, qui inaugure sa 458 édition. Hormis le Grand Palais, le programme du Petit Palais, de l'avenue Winston-Churchill, des Tuileries, de la place Vendôme et du musée Delacroix s'enrichit d'un nouveau parcours place de la Concorde. Sommaire. Les modernes dans le vent. Et vive le XXL ! Art Elysées : cap sur l'ouverture. Des foires off pour tous. Paris mise sur le collectif.

Les Galeries Lafayette, MK2, Apple Store... Entre nouveaux arrivants et rénovations luxueuses, la plus belle avenue du monde retrouve son lustre.

Au palais de Tokyo, à Paris, Tomâs Saraceno installe ses oeuvres, qui, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, entre art, science et architecture, nous obligent à repenser nos liens avec le monde. les araignées y ont la part belle!

Les derniers feux de la fête. Palace, Bains douches et Rose bonbon, l'évocation de quelques hauts-lieux des années 80. Un ultime âge d'or ?

Mieux vaut tard que jamais : à l’automne 2018, Paris découvre Paula Rego, peintre et graveuse anglaise d’origine portugaise, née en 1935, célébrée de longue date dans le pays de sa naissance comme dans sa patrie d’adoption, auteure d’une oeuvre dont la puissance expressive, depuis plus de trente ans, dérange, choque, fascine et séduit.