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Partis politiques -- Tunisie

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Engluée dans d'interminables errements, la formation au pouvoir a été durement sanctionnée lors des municipales du 6 mai 2018. Et ne sait plus sur quel pied danser...
Numéros de page :
pp.36-37

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Une majorité hétérogène engluée dans le consensus systématique, une opposition éclatée et inaudible, une vie parlementaire aussi chaotique que stérile... Les formations politiques portent une grande responsabilité dans l'immobilisme qui plombe le pays.
Numéros de page :
pp.54-57

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Clarifier les alliances, réduire les déficits, apaiser les tensions sociales... Tels sont les principaux défis que devra relever la classe politique avant les législatives et la présidentielle prévues fin 2019. Sommaire. L'optimisme est la foi des révolutions. Compte à rebours enclenché. Lotfi Zitoun , membre du bureau exécutif d'Ennahdha :" Le système actuel a montré ses limites". Embouteillage au centre. Rym Mahjoub, députée Atek Tounes de Mahdia :"Cahed veut faire comme Macron, mais sans démissionner". Liberté, vérité et fake news. Equation énergétique. Le casse-tête de la dette.
Numéros de page :
pp.93, 95-98, 100-103, 105, 108-110, 112-113, 115, 118-120

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Il est à la tête du nouveau poids lourd de la scène politique. Ligne idéologique, relations avec les autres partis, fonctionnement interne: l'ancien directeur de cabinet du chef de l'Etat dit tout.
Numéros de page :
pp.42-45

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Le 15 septembre 2019, les Tunisiens sont appelés à choisir leur président parmi vingt-six candidats. Un nombre qui reflète le morcellement des tendances politiques et laisse craindre un éparpillement des voix.
Numéros de page :
pp.12-13

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Après une période de tensions avec le président Kaïs Saïed, le patron d'Ennahdha et titulaire du perchoir veut calmer le jeu, tout en rappelant que son parti demeure une force politique incontournable. Et un partenaire obligé.
Numéros de page :
pp.34-38

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A une forte majorité, les élections présidentielles tunisiennes ont porté au pouvoir Kaïs Saïed, un conservateur se présentant comme « antisystème ». Mais le pays est plus divisé qu’il n’y paraît. La campagne a fait émerger des thèmes nouveaux. L’échec de la validation du nouveau cabinet ministériel montre que les islamo-conservateurs n’ont plus la domination absolue.
Numéros de page :
pp.17-28