En dépit des sentiments qu'inspirent ses phrases à l'emporte-pièce et ses tweets en rafale, le bilan objectif du président américain est contrasté. Politique intérieure. économie. diplomatie... Tour d'horizon. Sommaire. Washington sens dessus dessous. Economie : sa véritable planche de salut. Diplomatie : le règne de l'arbitraire.

Pour cette chroniqueuse américaine réputée, le chaos provoqué en juillet par l’intervention d’agents fédéraux dans l’Oregon était volontaire. Il fait écho à une stratégie éprouvée en Russie depuis 2010.

Le président élu des Etats-Unis fera-t-il oublier quatre ans de relations souvent houleuses entre Donald Trump et le reste du monde ? De Pékin à Rio, de Moscou à Téhéran, alliés et ennemis de l’Amérique se préparent au changement d’administration. Sommaire. L’Europe veut croire qu’elle retrouve un allié. Pékin ne lui déroule pas le tapis rouge. La Corée du Nord attend son heure. Proroger le traité New Start au plus vite. Après Trump, le chaos. Le casse-tête iranien. Amlo fait bande à part. Jair Bolsonaro à l’heure du choix

Après l’assaut contre le Capitole, le 6 janvier, par des partisans de Donald Trump, les États-Unis sont sous haute tension. Joe Biden, le nouveau président démocrate américain, qui prendra ses fonctions le 20 janvier, aura comme lourde tâche de gouverner et de réconcilier le pays (lire ci-dessous). Comment en est-on arrivé là ? Pour The Guardian, l’insurrection était prévisible au vu de la fureur exprimée ces derniers mois par les milices d’extrême droite, soutenues par le président sortant. Peut-on parler pour autant d’un coup d’État ? Pas vraiment.

Confronté au coronavirus et au dévissage de l'économie, le président perd pied. Pour être réélu, il applique sa recette miracle : la surenchère.

Dans un pays déchiré par la mort de George Floyd, tué par la police, le bouillonnant locataire de la Maison Blanche semble avoir perdu la main. Il a cinq mois pour la reprendre. Sommaire. Donald Trump, le président du chaos. Une jeunesse révoltée et désabusée. Joe Biden, les failles d'un candidat trop fragile. Dans les rangs de la police, le cancer du racisme. Economie, course contre la montre.

“La plus grande démocratie du monde” aurait beaucoup à apprendre de l’Europe.

Le mardi 3 novembre 2020 aura lieu la 59e élection présidentielle des Etats-Unis. Le slogan de Donald Tromp, qui joue sur la peur d'un effondrement économique et de la généralisation des émeutes, est "Keep America Great". Celui du candidat démocrate, Joe Biden: "Build Back Better", « Reconstruire en mieux ». En effet, une partie de l'opinion publique du pays espère rebâtir le rêve américain, celui d'une démocratie qui intègre des migrants venus du monde entier, portée par la foi en son propre destin... Mais l'Amérique est-elle encore à la hauteur de cet idéal?

Arracher les racines de la domination patriarcale au Chili, découvrir les coulisses outrancières de la mandature Trump et dénoncer les conflits d'intérêt qui ont la mainmise sur les élections US.

Le scrutin laisse planer une série d'incertitudes et peut-être de procédures sans fin. Seule évidence : le vainqueur devra faire avec une Amérique plus divisée que jamais et affaiblie aux yeux de ses partenaires comme de ses adversaires.

A quoi ressemblent les films de Stephen Bannon, l'idéologue de Donald Trump ?

Face aux décrets contestés du nouveau locataire de la Maison Blanche, les Américains peuvent s'appuyer sur de nombreux contre-pouvoirs.