Les négociations sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union ont commencé le 19 juin 2017. L'addition pourrait être lourde.

Alors que la Grande-Bretagne est frappée à son tour par le Covid-19, le grand écrivain William Boyd, confiné à Londres, répond à "L'Obs".

La guerre, le Brexit, le Covid... la reine a survécu à toutes les crises, écarté les rivaux. Notre correspondant Marc Roche l'a côtoyée, son dernier livre renferme quelques secrets. Récit et extraits.

L'écrivain britannique est le grand invité de la Foire du livre de Brive, où il présentera son nouveau roman, "Le Royaume désuni".

Le plan budgétaire annoncé par la nouvelle Première ministre affole les marchés financiers mais également son propre parti.

Jugée menaçante par certains conservateurs, la décision des Britanniques de quitter l’Union européenne pourrait représenter une chance pour les travaillistes s’ils parvenaient au pouvoir. Dégagés des traités néolibéraux qui organisent l’Union, ils jouiraient de marges de manoeuvre plus larges pour mettre en oeuvre leur programme. Reste à convaincre leurs militants acquis à l’idée qu’il n’existe de Brexit que de droite.

Un pays où les divisions caractériseraient avant tout le camp conservateur ? Où la gauche susciterait l’enthousiasme des foules ? Où l'espoir de nouvelles conquêtes électriserait les progressistes ? Ce pays existe : il s'agit du Royaume-Uni, depuis que l'élection de M. Jeremy Corbyn à la tête du Parti travailliste, en 2015, a permis une refondation de la gauche à l'intérieur même du parti social-démocrate traditionnel.

Divorce à l'amiable ou saut dans l'inconnu ? Le choix appartient au Parlement britannique qui se prononcera, en décembre 2018, sur l'accord conclu par Theresa May. En attendant, l'épisode révèle les qualités d'un peuple qui reste notre inestimable et imprévisible voisin. On savait les Anglais drôles et excentriques. Mais ce qu'on a découvert avec le Brexit, c'est qu'ils sont finalement nombreux à être de fervents Européens ! Sommaire. Le Brexit, et alors ? Le Blues de Leicester. "Le Brexit finira en faux-semblant !", entretien avec William Boyd. Dix British qui comptent.

L'ancien ministre des Finances succède à Liz Truss à la tête du parti conservateur et du gouvernement. À 42 ans, il devient le plus jeune chef de l'exécutif depuis 1812 et la première personne issue d'une minorité ethnique à occuper ces fonctions. L'analyse se poursuit par un article du "Guardian" intitulé "Un club sur le déclin".

Après le remaniement du gouvernement britannique annoncé le 13 novembre par Rishi Sunak, la nomination aux Affaires étrangères de l’ex-Premier ministre, qui s’était retiré en 2016 au lendemain du référendum sur le Brexit, divise outre-Manche. Sommaire. Oui, c'est un homme d'expérience. Non, personne n'en veut.