Il y a eu le confinement, avec l'école à la maison, et maintenant, il faut affronter les vacances. Les mères n'en peuvent plus et aspirent à un peu de calme. Objectif : éviter le burn-out parental.

Le plus surprenant dans les épreuves que nous traversons n’est pas tant qu’elles nous accablent, mais que l’on puisse s’en remettre, oublier, et que la vie reprenne comme s’il ne s’était rien passé. Ce journal est la mémoire vive d’une épreuve vécue à l’échelle mondiale, celle d’un confinement lié à la pandémie, puis de la bascule dans le déconfinement et les inquiétudes qu’il suscite, avec les exigences d’une réflexion philosophique attentive aux intenses remaniements psychiques durant cette période, comme aux transformations politiques en cours.

Le Covid a-t-il rouvert la « guerre des générations » ? La question a déjà des airs de vieille rengaine dans le débat autour de la pandémie. Pour certains, les mesures sanitaires généralisées attestent que la société est prête à sacrifier le présent et l’avenir des jeunes, parfois déjà précaires, pour préserver l’existence déclinante des anciens ; pour d’autres, au contraire, on culpabilise les aînés, improductifs, alors que leur comportement serait bien plus exemplaire que celui des nouvelles générations, dont on a rapporté les négligences.

Pour casser les chaînes de transmission, il faudrait s'isoler dès les premiers symptômes, avec, si nécessaire, un accompagnement. Un schéma difficile à mettre en place.

Montpellier, l'une des huit métropoles placées en alerte maximale, a vécu son premier samedi de confinement nocturne. Grande tolérance de la police mais grosse inquiétude pour les week-ends à venir. Reportage avec un équipage de "nuiteux".

Afin de ne pas répéter les erreurs commises pendant l'été et à la rentrée, le gouvernement devrait dès aujourd'hui réfléchir à la meilleure stratégie pour sortir peu à peu du confinement.

Protéger à tout prix, jusqu'au confinement, la population contre le Covid-19 sans tenir compte des désastres annoncés sur la santé globale des Français, sur l'avenir de la jeunesse, sur l'activité économique du pays et son cortège de catastrophes... Est-ce que ça vaut vraiment le coup ? Sommaire. Leur vie compte aussi. L'effet double lame. La France du (très) grand écart. Avoir 20 ans entre quatre murs. Macron peine à inventer la "covidémocratie"

Les nouvelles restrictions pour endiguer la crise du Covid-19 suscitent la colère et provoquent des manifestations à travers plusieurs pays. Du pain bénit pour les populistes.

Le nouveau confinement - en attendant le suivant ? - entérine une tendance lourde de la mode actuelle : le renoncement aux tenues de ville, statuaires, rigides, qui serrent aux cuisses ou au bide, au profit du vêtement d'intérieur flou, doux, mou, porté dedans ou dehors. Vieux bébés en survêtements et beautés languides en pyjamas précieux prolifèrent.

Depuis le 15 mars 2020, le monde fonctionne au ralenti. Sonnés mais pas KO, artistes, galeristes, directeurs de musées et de fondations cherchent des solutions pour s'en sortir et maintenir le lien avec nous - lecteurs, spectateurs, amateurs, collectionneurs... Par Skype, Zoom, portails vidéo multiples et téléphone, nous sommes allés à leur rencontre. Pour savoir de quelle façon ils vivent le confinement, ce qu'ils créent, mais aussi comment ils envisagent l'avenir et quels sont leurs craintes et espoirs au temps du coronavirus.

Entre désoeuvrement et projets délirants, les plasticiens ont traversé cette parenthèse cloîtrée comme ils ont pu. D'Annette Messager faisant des doigts d'honneur à la mort à Fabrice Hyber graffitant les murs de sa maison, témoignaGes d'artistes qui n'ont jamais cessé de créer et vont vous surprendre...