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Solides en vrac

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Bulletin : Kaizen 61
Le prix est l'une des raisons qui poussent de plus en plus de Français à consommer en vrac. Ce mode de consommation est-il vraiment moins cher ? La réponse est nuancée, mais n'enlève rien aux atouts du vrac. En plus de redonner de l'autonomie au consommateur, il réduit de facto la pollution et, dans l'absolu, peut faire baisser la pression fiscale des collectivités qui intègrent le critère poids dans leur taxe ordures ménagères. Enquête.
Numéros de page :
pp.14-17

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Day by Day teste un nouveau concept depuis décembre 2020. Le spécialiste français de l'épicerie vrac élargit sa surface de vente avec un Grand Marché Vrac de plus de 300 m2, proposant en un même lieu l'ensemble de ses produits d'épicerie, des fruits et légumes, une boucherie et une crémerie. L'achat en vrac reste évidemment au coeur du concept, avec la possibilité d'amener ses propres récipients ou d'en acheter sur place.
Numéros de page :
pp.24-25

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Bulletin : LSA 2652
Selon une étude menée en 2020 par Réseau Vrac, l'association française des professionnels du vrac, les magasins spécialisés dans le vrac dans l'Union européenne devraient générer 10 000 emplois d'ici à 2024 et un chiffre d'affaires d'au moins 1,2 milliard d'euros d'ici à 2030. Au-delà de l'alimentaire, ce phénomène mondial touche l'univers tout entier du DPH (droguerie-parfumerie-hygiène). Tour d'horizon des initiatives des grandes marques sur tous les continents. Quelques données chiffrées.
Numéros de page :
pp.6-10

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Bulletin : LSA 2683
S'intéressant au vrac depuis plusieurs années, l'enseigne française de magasins de proximité Monoprix a inauguré un nouveau concept, à Marcq-en-Baroeul, dans le Nord, en décembre 2021. Elle a converti toutes ses têtes de gondole d'une grande allée centrale en meubles de vrac exclusivement dédiés aux marques qui s'essaient à ce créneau. Présentation avec des photographies. Peu de chiffres.
Numéros de page :
pp.26-27

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Bulletin : LSA 2683
En France, des industriels et distributeurs engagent diverses initiatives pour réduire les emballages. Ces derniers représentent un gisement de 5,3 millions de tonnes produit en France, dont 92% occupés par le verre, le plastique et le papier-carton. Parmi les initiatives : la vente en mode vrac, la refonte et l'écoconception des emballages, le retour de la consigne, la réduction des contenants et les nouveaux matériaux, une réflexion sur l'amont logistique. Des exemples de stratégies. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.28-30, 32-33

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Bulletin : LSA 2690
L'article 23 de la loi Climat et Résilience fixe l'objectif pour les commerces de vente au détail de plus de 400 m2 de consacrer au moins 20% de leur surface des produits de grande consommation (PGC) à la présentation de produits sans emballages primaires, y compris présentés en vrac. Des chantiers se mettent en place pour préparer ce changement, du côté de la fédération technique du commerce et de la DGCCRF, sous la forme de consultations et d'expérimentations. En parallèle, l'offre de meubles en vrac se développe dans l'offre des fabricants (HMY, Wanzl, Jean Bouteille, Bulk and Co, Digi).
Numéros de page :
pp.30, 32

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Bulletin : LSA 2693
Sur le marché français des DPH (droguerie, parfumerie, hygiène), les marques sont de plus en plus nombreuses à proposer des solutions pour développer la vente en vrac dans les grandes surfaces, en 2022. Après la commercialisation des écorecharges, elles proposent désormais de nouvelles solutions comme les "refill stations" (stations de recharge où le client vient remplir son flacon du même produit dans la même quantité). Zoom sur les solutions déployées par certaines marques. Pas de chiffres.
Numéros de page :
pp.42-43

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Le vrac n'a pas dit son dernier mot. Loin de là ! Malgré son recul depuis le Covid, les acteurs, poussés certes par le contexte législatif, s'attachent à développer des solutions pour lever les freins à cette pratique. À commencer par les distributeurs. Qu'il s'agisse des spécialistes à l'image du Drive tout nu, qui vient d'inaugurer au sud de Toulouse le premier supermarché zéro déchet, ou des généralistes. En témoigne l'Intermarché de Dole, vrai modèle du genre en matière de test and learning.
Numéros de page :
pp.22-24, 26-28, 30, 32

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Le bio continue de progresser en France en 2019, en témoigne par exemple le succès de l'enseigne spécialisée Biocoop, qui devrait atteindre les 75 ouvertures de magasin supplémentaires à fin 2019 et avait déjà réalisé 1,21 milliard d'euros de CA en 2018. D'autres signes ne trompent pas quand au dynamisme du bio : les distributeurs sont de plus en plus nombreux à proposer leurs MDD bio, l'offre locale de produits bio se développe, de même que celle concernant les produits en vrac.
Numéros de page :
pp.57-64, 66, 68-74, 76, 78, 80-82, 84, 86, 88, 90, 92-94, 96, 98

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Si le vrac permet, à l'échelle individuelle, d'éviter le suremballage si délétère dans la grande distribution, qu'en est-il en amont de la chaîne ? En clair, comment conditionne-t-on les produits pour les transporter jusqu'à votre magasin ?
Numéros de page :
pp.18-19

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Date parution pério
2024-01-11
Après les années Covid et l'inflation, la vente en vrac revient peu à peu en grâce. Commerçants et fabricants s'unissent pour améliorer la praticité, l'hygiène et le prix. Détails. Données chiffrées.
Numéros de page :
pp.22-25

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Date parution pério
2023-01-19
Entre les prix qui s’envolent, la chute de la consommation qui menace, et les marges qui se réduisent, les distributeurs cherchent le modèle le plus rentable pour leur passage au vrac. Mais l’équation est compliquée. Détails. Quelques données chiffrées.
Numéros de page :
pp.30-32, 34