Depuis le Brexit, Londres veut redevenir une puissance mondiale. En attestent l’accord de partenariat signé avec Kiev et la récente incursion dans les eaux de Crimée, estime un expert russe.

Vilnius est devenu le fer de lance de la pression occidentale contre le président biélorusse. Celui-ci riposte en laissant des centaines de migrants franchir la frontière entre les deux pays.

Ils sont des dizaines de milliers à avoir quitté l’Afghanistan après la chute de Kaboul, le 15 août 2021. Et tant d’autres qui tenteront de le faire par voie terrestre après le départ du dernier soldat américain (le 30) et la fin des évacuations par pont aérien. Mais ni les voisins proches d’Asie centrale ni la Turquie, l’Europe ou les Etats-Unis ne semblent prêts à accueillir à bras ouverts ces réfugiés qui fuient les représailles des talibans. Sommaire. Vu de Suisse. l'Europe regarde ailleurs. Vu d'Australie. Aveuglement général. Vu d'Etats-Unis.

Saoudiens et Emiratis avaient promis de chasser les rebelles houthistes du pouvoir. Mais ceux-ci sont toujours là, plus forts que jamais. Pire, une multitude de groupes armés a prospéré. Le pays est désormais divisé et instable, déplore le journaliste yéménite Yassine Al-Tamimi. L'article intitulé "Pression. Les houthistes poussent leur avantage" complète l'analyse.

Les Irakiens sont appelés aux urnes le 10 octobre 2021. Le pays, où les milices pro-Téhéran exercent une forte influence, a opéré ces derniers mois un repositionnement dans le giron arabe sous l’impulsion du Premier ministre, Moustafa Al-Kazimi. Le dossier se conclut par l'article intitulé "Milices et tribus en ordre de bataille électorale".

L'Hexagone se distingue en Europe par sa propension à formuler de grandes orientations, une caractéristique qui fait partie du subtil équilibre franco-allemand dans l'Union, analyse cette chroniqueuse néerlandaise.

La guerre par procuration que se livrent les deux Etats au Moyen-Orient se déplace sur le terrain maghrébin, explique "Raseef22". Désirs expansionnistes et visées stratégiques prospèrent sur les rivalités locales.

De la Chine aux Etats-Unis en passant par la Turquie ou la France, chacun veut désormais sa grand-messe avec l’Afrique. Cet exercice est aussi pour les Etats africains un moyen d’unifier leurs voix face aux puissances mondiales.

Face à la menace d’invasion de l’Ukraine par la Russie, Washington prône le dialogue. Mais le maître du Kremlin se sait en position de force, affirme ce chroniqueur russe.

Selon l’historien et essayiste britannique Timothy Garton Ash, dans la partie qui se joue aujourd’hui autour de l’Ukraine, la Russie aura le dessus aussi longtemps que l’Ouest sera dépourvu de stratégie claire, voire visionnaire.

Ce jeune pays de la Corne de l’Afrique tente d’affirmer son indépendance sur le plan international. Dans sa quête, il mise sur la rivalité entre Washington et Pékin dans cette région éminemment stratégique.

Fondée sur l’héritage des territoires artificiels des Empires français et britannique, la manière dont les Etats-Unis voient cette région du monde et y agissent est totalement dépassée, au vu des dynamiques politiques, économiques et sociales qui la traversent, écrit ce professeur de sciences politiques américain.