L’invasion de l’Ukraine par la Russie nous a fait basculer dans une ère qui rappelle la guerre froide, analyse ce quotidien algérien. Mais le nouveau monde multipolaire tant vanté par le Kremlin est aussi générateur d’incertitudes pour le continent africain. Le dossier se conclut par l'article intitulé "En Guinée Bissau, la nostalgie camarade".

Le sommet de l'Organisation de sécurité de Shanghai se tient à Samarcande, en Ouzbékistan. Xi Jinping et Vladimir Poutine, dont les pays ont des intérêts divergents en Asie centrale, devraient s'y rencontrer.

Le retrait des troupes françaises du Mali, effectif depuis août 2022, laisse l'initiative à l'Algérie dans le règlement de la crise sécuritaire. Une bonne nouvelle pour la stabilité de la région, estime ce journal panarabe.

Le massacre perpétré par le Hamas en Israël et les bombardements de Gaza ont gravement déstabilisé le Proche-Orient. Alors que les Etats-Unis se voient obligés de reprendre leur uniforme de gendarme du monde, l'Iran montre ses muscles. Et tandis que les pays arabes se taisent, les opinions publiques arabo-musulmanes se radicalisent. Pendant ce temps, Russie et Chine se frottent les mains. Quant à l'Europe et à Macron... ils suivent le mouvement. Sommaire. Israël-Palestine. Qui veut vraiment la paix ? La diplomatie de Macron vue de l'étranger.

RD Congo, Burundi, Afrique du Sud, France, Belgique, 30e commémoration du génocide, quatrième mandat... Les confidences sans filtre du chef de l'État rwandais.

Alors que la confrontation entre Israël et l'Iran prend un tour plus direct, au risque d'une guerre ouverte, le "1 hebdo" fait le point sur l'état des forces en présence au Moyen-Orient et les positions des deux antagonistes et de leurs soutiens. Sommaire. La mécanique du pire, éditorial. Si près d'un gigantesque brasier. "Chacun à sa manière dans une logique jusqu'au-boutiste", entretien avec Agnès Levallois. Inévitable escalade ?, le poster du "1".

Les massacres de masse commis par le Hamas le 7 octobre 2023 suivis du bombardement intensif de la bande de Gaza par Israël ont ravivé une plaie jamais refermée. Un conflit ancien, qu'il faut compter en générations, enkysté dans les rancoeurs accumulées au fil du XXe siècle. Il faut en effet ouvrir la focale de l'Histoire, en remontant bien avant la création d'Israël en 1948 et les guerres qui ont suivi, pour comprendre comment les aspirations de deux peuples à vivre libres sur une même terre ont engendré une telle tragédie. Sommaire.

Le globe revêt son treillis pour faire état des puissances militaires dans le monde.

En 1989, alors que l'empire soviétique implose, Alexandre Arbatov, conseiller diplomatique de Mikhaïl Gorbatchev, eut à l'endroit des Occidentaux cette remarque brillante : « Nous allons vous rendre le pire des services, nous allons vous priver d'ennemi. » La disparition du communisme a en effet plongé l'Europe et les Etats-Unis dans l'euphorie et la désorientation...

La disparition de l'Union soviétique a laissé le champ libre au règne des Etats-Unis qu'on a pu croire un moment installés dans le rôle d'une « hyperpuissance » sans partage. L'évolution du monde s'est vite révélée plus contrastée, au point qu'il y a lieu de s'interroger sur ce qui reste du « siècle américain ». Adam Tooze en analyse le déploiement et en scrute les limites.

Donald Trump est l'héritier, quoi qu'il en ait, d'une donne internationale profondément changée, qui représente un défi pour les Etats-Unis. Quelle réponse peut-il lui apporter? Tony Corn examine les options qui s'offrent à lui.

Mondialisation veut dire obligation de s'informer du monde. Elle nous oblige en permanence à mesurer nos ignorances, au contact de partenaires avec lesquels nous sommes contraints de compter et dont la conduite, les évolutions, les ambitions ne cessent de nous déconcerter. Ce n'est que depuis peu, ainsi, que l'opinion occidentale commence à se rendre compte du rôle joué par l'Arabie saoudite dans la diffusion d'un islam rigoriste. Mais c'est pour découvrir simultanément combien le fonctionnement de cette puissance financière majeure nous reste opaque.