Réflexion, en septembre 2011, sur la surveillance des réseaux sociaux par les entreprises en France, afin de mieux réguler l'information diffusée et de maîtriser l'image de l'entreprise. Les entreprises apprennent à se prémunir contre les dérapages de leurs salariés, de la manière douce ou par sanction. Elles peuvent aussi créer leur propre réseau social, qui réduit le risque de divulgation d'informations confidentielles et de perte d'image.

Le point, en octobre 2011, sur la communication par l'objet dans le cadre professionnel. Remercier ses collaborateurs, les fédérer ou marquer les esprits de ces clients..., ses objectifs sont multiples. Toutefois, son usage est particulièrement sensible : un défaut de qualité, un mauvais ciblage, et c'est toute la stratégie qui en pâtit. L'approche doit alors être minutieusement réfléchir, quitte à faire appel aux services d'un prestataire spécialisé. Points abordés : communication tactile ; le geste et le message ; le levier du salon ; conseils en stratégie et fournisseurs de solutions.

Décryptage, en octobre 2011, des enjeux et de l'évolution des séminaires d'entreprises, en France. Accueil de nouveaux collaborateurs, situation de crise, lancement de produit, coaching... Le séminaire représente un moment rare et précieux dans la vie de la société. Autrefois érigé en grand-messe de l'entreprises et événement rituel incontournable, le séminaire fait peau neuve : moins loin, moins cher, plus vert et plus techno. Mais l'événement exige une préparation minutieuse, car chaque détail compte et l'outil RH peine encore parfois à démontrer son efficacité par les chiffres.

Le point, en novembre 2011, sur les atouts des radios d'entreprise qui commencent à se développer en France. Souples, peu coûteuses, facilement accessibles et rapides à mettre en oeuvre, ces nouveaux médias d'entreprises s'avèrent être un outil de communication corporate dont la force de frappe est importante. La radio s'offre aujourd'hui une nouvelle jeunesse grâce notamment aux nouvelles technologies en surfant sur la vague porteuse de la mobilité.

Décryptage, en novembre 2011, de la dégradation des protocoles élémentaires dans les entreprises françaises qui se veulent désormais conviviales et informelles et qui, pour répondre aux impératifs de productivité, faire plus vite et plus simple, rognent sur les rituels de politesse, écrits, parlés, comportementaux. Formules de politesse écourtées, tenues décontractées, recours de plus en plus systématique aux prénoms, au tutoiement, etc.

Analyse, en février 2012, de l'aubaine que représente la crise pour les relations publiques (RP), notamment dans les pays anglo-saxons, où la profession voit ses revenus croître risque la déprime économique ratisse les autres budgets de communication. Principaux atouts des RP : son prix bas, son impact multiplicateur sur les médias, sa capacité à concilier pédagogie et modestie dans les situations délicates où la publicité semble ″too much″. Un effet anti-crise qui n'est cependant pas encore flagrant en France, où les RP sont encore peu développées.

Décryptage de l'évolution du métier de dirigeant de communication, dans les entreprises françaises, en 2012. Un professionnel qui a changé depuis les années 1980 : son pouvoir d'influence est inchangé mais il est désormais doté d'une dimension stratégique dans un climat de défiance croissante à l'égard des entreprises et de leurs dirigeants. Une contrainte à laquelle s'ajoute l'émergence de nouveaux outils et modes de communication, redéfinissant entièrement son périmètre.

Intérêt des entreprises françaises pour le blogging, ou communication par les blogs. Une solution qui leur permet de toucher un large public pour un coût moindre, mais qui représente avant tout une façon différente de dialoguer avec le consommateur, basée sur le principe de l'identification du public au bloggeur. Les entreprises peuvent alors avoir recours à un bloggeur en le rémunérant par le biais de billets sponsorisés ou en le convaincant de l'intérêt de son produit. Elles peuvent également créer leur propre blog d'entreprise.

L'anglais est la lingua franca des temps modernes. Les entreprises qui cherchent à internationaliser leur identité y ont naturellement recours pour leurs opérations de communication et de relations publiques. En général, il s'agit de traduire des textes, conçus dans la langue d'origine de l'entreprise, vers une autre langue véhiculaire (l'anglais du monde globalisé), dénuée d'un fond culturel qui lui soit propre. Cette transposition a-t-elle de réelles chances de convaincre un public dont la seule caractéristique connue est la pratique de cette lingua franca ? Le doute est permis.