La réponse aux 5,5 % de déficits du PIB est dans la hausse du taux d’emploi et non du taux d’impôts. Détails. Quelques données chiffrées.

La voie du redressement par le retour à une industrie compétitive est la bonne, même si le naufrage budgétaire tend à le faire oublier.

Comment concilier filières performantes sur les marchés et filières en perdition en quête de soutiens.

La France doit revoir les choix collectifs post-guerre froide en musclant la base industrielle et technologique de défense.

Sous l’enseigne “souveraineté”, un néoprotectionnisme conquérant devient l’étendard du populisme électoral.

Sans redressement du modèle productif, le contrat social ne tiendra plus. Pour François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, le pays a un besoin absolu de récupérer du PIB supplémentaire sous peine de devenir insolvable.

Le programme sur la lancée du précédent quinquennat suffira-t-il à préparer à la violence des chocs à venir ?

Et du dévoiement des chiffres de l’Insee au coeur de la campagne.

Les cours suprêmes nationales étendent sans cesse leur champ d’action, et les attaques contre la CJUE ont de quoi alarmer.

Le capitalisme décarboné doit se préparer au "vivre ensemble" avec une puissance publique pilote.

Le déficit structurel de notre commerce extérieur se paie par de l’endettement et de la perte de souveraineté.

La pandémie est le parfait révélateur des dysfonctionnements de la gouvernance "d’en haut".

La véritable émancipation des régions n’est pas à l’ordre du jour.

Du plus constructif au plus marxiste, de la plus studieuse à la plus déterminée, de la plus politique au plus scolaire, les programmes de chacun.

La longue traîne des engrenages à venir et des chocs en retour n’en est qu’au tout début.

La perspective d’un débranchement s’accompagne d’un déficit public aussi élevé en 2021 qu’en 2020.

Le personnel politique ne semble pas prendre la mesure du nécessaire retour à l’orthodoxie budgétaire.

Les économistes sont les grands ignorés des programmes et les partis politiques sont les grands absents de la compétition.

Or seule une croissance forte pourra soutenir à la fois le pouvoir d’achat, la transition écologique et notre modèle social.

La taxe carbone vaut mieux que tous les oukases écologistes pour transformer l’économie.

Les règles de la concurrence mises en place par Pékin, Washington et Bruxelles sont un révélateur de l’efficacité comparée des régimes politiques.

Le paysage de la prochaine présidentielle s’annonce quelque peu chaotique.

En réaction aux conséquences économiques de la crise du Covid-19, le gouvernement français cherche à adapter son modèle économique, la reconversion primant sur les transitions, et pallier à son déficit 2020 jaugé à 223 milliards d'euros et à une récession à moins 11%. Pour cela, le gouvernement compte éviter le financement des entreprises zombies, ni concurrentielles, ni attractives, tout en se concentrant sur un "suivi systématique des conséquences économiques, psychologiques et sociales de la pandémie" recommandé par le Conseil scientifique.

Les 500 milliards d’emprunt communautaire viendraient appuyer les 750 milliards de rachat de dettes souveraines de la BCE.

Le bilatéralisme sauvage est en passe de régenter la future décennie de relations commerciales.

Les dits et les non-dits de l’emprunt européen de 750 milliards.

La réforme des retraites garde toutes ses chances au prix d’un laborieux chemin parlementaire et malgré l’incurie gouvernementale.

Les conséquences négatives de la stratégie monétaire commencent à apparaître en pleine lumière.

Tout se joue sur le retour de la croissance par l’investissement, le capital, et la poursuite des réformes de compétitivité.

La feuille de route du programme "France Relance" du gouvernement, pour sortir de la crise économique de 2020 liée à la pandémie de Covid-19, s'appuie sur l'idée de "transformer la crise en opportunité en investissant dans les domaines les plus porteurs pour accélérer la conversion écologique du tissu productif". Plus que réindustrialiser la France, l'enjeu va consister, pour les dix prochaines années, à construire un nouveau modèle de production pour en faire le levier majeur d’une stratégie de développement et de raccrocher les impératifs de l’écologie et de la réparation sociale. Le point.