L'arrivée de l'usine Peugeot à Kenitra a entraîné une vague d'investissements d'équipementiers automobiles, notamment chinois, dans le royaume. Sommaire."Notre usine marocaine servira d'abord les marchés d'Afrique et du Moyen-Orient", Rémi Cabon, directeur général de PSA Kenitra. Un lion dans le moteur.

Porté par une croissance plus vigoureuse et par des besoins toujours aussi massifs, le secteur repart de l'avant sur tout le continent et devrait croître de 5,6 %cette année. Avec la Chine en maître d'oeuvre. Sommaire. Conjoncture. La grande reprise. Matériaux. Inoussa Kanazoé accélère l'industrialisation de Cim Metal.

Si le constructeur canadien est sorti du secteur des avions commerciaux, ses appareils connaissent sur le continent une seconde jeunesse, portés par Airbus et De Havilland.

Alors que le débat fait rage en Europe, la question d'une juste contribution des plateformes de contenus, comme Netflix ou YouTube, au financement des réseaux d'accès à internet commence à agiter le marché africain. Sommaire. Big Tech et télécoms partageront-ils la note ? Airtel Africa plus solide que jamais à l'heure de la modernisation. Peter Lewis : « La RDC est l'un des meilleurs marchés d'Afrique ».

Dans un environnement économique complexe, les opérateurs internationaux continuent d’investir sur le continent. Mais le risque politique, l’envolée des coûts de construction et la hausse des taux d’intérêt freinent les ardeurs, en particulier dans le domaine des infrastructures. Les industriels jouent de leur coté la carte de la valeur ajoutée locale. L'article se conclut par l'interview de Sameh Shenouda directeur exécutif et directeur des investissements d'Africa Finance Corporation qui déclare : "En Afrique, il n'y a pas assez de capital disponibles pour les projets".

Au cours des prochaines années, le constructeur doit relever un double défi : maintenir un rythme de contrats soutenu et conforter sa place de premier groupe ferroviaire sur le continent.

Malgré les dégâts considérables causés par la crise sanitaire et un contexte international troublé, le ciel africain semble s'éclaircir.

La crise sanitaire a produit des effets délétères sur l'activité des entreprises du continent en 2020, année de référence de notre Top 500. Si peu de secteurs ont été épargnés, la reprise semble désormais bien engagée.

Sur le continent, pour limiter leurs émissions de C02, les géants de l'or noir Total, Eni, BP et Shell ont mis l'accent sur le développement gazier. Mais leurs projets dans le renouvelable et la compensation carbone restent encore modestes. Sommaire. Empreinte carbone. Transition complexe pour les majors pétrolières. Dakar et Nouakchott cherchent le mix gagnant.

Pour renforcer son rang, le royaume, deuxième exportateur de voitures derrière l'Afrique du Sud, met le turbo afin d'élargir son écosystème de sous-traitants.

Le secteur bénéficie d'un flux continu d'investissements étrangers, à l'image de l'usine Thales inaugurée en septembre 2017. Pour doubler de taille, elle compte plus que jamais sur un vaste projet avec l'avionneur américain.

Dans un secteur en plein boom dominé par les entreprises étrangères, les capitaines d'industrie du pays amorcent une percée en s'appuyant sur les usines Renault et Peugeot.

En dépit de ventes en berne, les géants du secteur réinvestissent sur le continent, multipliant la création d'unités de production. Mais celles-ci restent modestes et s'appuient souvent sur des équipementiers et des sous-traitants étrangers. Sommaire. Les constructeurs avancent leurs pions. Thomas Schaefer, Directeur général de Volkswagen pour l'Afrique subsaharienne : «On ne développe pas une industrie du jour au lendemain».

Déjà présente à Accra et à Lagos, la filiale de Volkswagen s'active autour d'un schéma urbain de déplacement par bus au Burkina Faso. Avec le concours de la RATP.